@ECOLOGIEI

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2006 création du HUB (VIADEO) *21ème Siècle-'ECOLOGIE & INNOVATION': DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIe siècle!2.0* Think Tank International : + de 3000 membres. *Morgane BRAVO Avocat de formation, études & expérience Diplomatique, Sciences Politiques... « Euroblogeur »...2002 en France : Candidate (titulaire) aux élections Législatives, dans la 14ème Circonscription de Paris. 16e arrondissement (Sud). Fondatrice *Morgane BRAVO, from Paris, France. She's graduate Lawyer and have a Master’s degree in Diplomacy & Political Science...Diplomatic experience.

lundi 26 décembre 2011

*Rendre les motos plus sûres et plus vertes...PE

        
Les députés examinent la législation relative à l'homologation d'un nouveau type de véhicule - mais qu'en est-il des droits des motards ? Et l'actualité du jour.

Bien à vous,


samedi 24 décembre 2011

*6ème Forum Mondial de l'Eau : Les parlementaires de l’eau...*




Parlementaires et spécialistes de l'eau représentant une quarantaine de pays se sont réunis à Strasbourg dans le cadre de la réunion préparatoire du processus parlementaire du 6ème Forum Mondial de l'Eau, qui se tiendra à Marseille en mars 2012...
10 juin 2011 

*21ème Siècle-'ECOLOGIE & INNOVATION': DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIe siècle!2.0
*ECOLOGIE & INNOVATION : DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIe Siècle!*

Bien à vous,

jeudi 22 décembre 2011

*Le Mexique illumine un sapin de noël avec 15 vélos...Ville de Puebla*


L’électricité revient vite chère de nos jours. Alors, la municipalité de Puebla a décidé, pour ce Noël, d’illuminer écologique. 15 vélos se chargeront de fournir l’énergie nécessaire pour alimenter les guirlandes du sapin.


Disposés autour du grand sapin de Noël de la quatrième ville du Mexique, Puebla, les 15 vélos attendent que les passants les enfourchent afin d’éclairer les 8.000 LED. Le simple fait d’utiliser des LED est écoresponsable car ce dispositif ne requiert pas un besoin énorme d’électricité. 

Les vélos sont tous reliés à un générateur, d’une puissance de 100 à 130 watts, sur les roues arrières. Ainsi, les deux batteries alimentant le sapin sont rechargés et les décorations peuvent s‘illuminer.Ces générateurs représentent une très bonne alternative aux traditionnelles dynamos qui équipaient nos vélos. 

"L’énergie produite par les 15 bicyclettes serait suffisante pour illuminer 60 logements avec des ampoules de 100 watts", selon le directeur de l’entreprise CocoLab en charge de projet écologique. Chaque vélo doit être utilisé pendant 8 heures au cours de la journée, à une vitesse de 20 à 30 km/h.L’initiative semble finalement plaire autant aux autorités qu’à la population. Collective, elle incite les Mexicains à participer à un Noël durable et collectif. 

 15 vélos (15 x 200 W)
+ 8 heures de pédalage par jour (club fitness bio en plein air)
+ 2 batteries
= illumination des 8000 ampoules de l'arbre de Noël durant la soirée et une partie de la nuit

"Para cargar las baterías se debe pedalear cada bicicleta durante unas 8 horas en el día a una velocidad ent
re 20 y 30 kilómetros por hora para mantener iluminado el árbol por la noche."
http://www.informador.com.mx/tecnologia/2011/340663/6/iluminan-arbol-de-navidad-con-la-energia-de-bicicletas-en-puebla.htm

Bien à vous,

*Premio de Ecología y Medio Ambiente Miguel Alemán Valdés 2011* Mexique




Ciudad de México, 14 de diciembre del 2011.- Ceremonia de Entrega del Premio de Ecología y Medio Ambiente Miguel Alemán Valdés 2011, que se llevó a cabo en el Salón Adolfo López Mateos de la Residencia Oficial de Los Pinos.


LA SUITE :
http://www.presidencia.gob.mx/2011/12/diversas-intervenciones-en-la-ceremonia-de-entrega-del-premio-de-ecologia-y-medio-ambiente-miguel-aleman-valdes-2011/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

http://mexicoworldwide.blogspot.com

Bien à vous,

mardi 20 décembre 2011

*La conversion écologique et sociale : les perceptions des chefs d'entreprises et des salariés* France

Chefs d’entreprises et salariés franciliens adhèrent largement à l’idée d’une conversion écologique et sociale. C’est l’une des conclusions majeures d’une enquête, réalisée par l’institut de sondage Viavoice, présentées le 21 novembre lors de la 1e séance plénière des États généraux.

C’est une enquête riche d’enseignements pour la réussite de la conversion écologique et sociale en Île-de-France. Réalisée auprès de chefs d’entreprise, de salariés et de représentants du personnel franciliens*, elle met en valeur à la fois la compréhension qu’ont ces acteurs économiques essentiels de la notion de « conversion écologique et sociale »,  mais aussi leur lucidité sur les enjeux de sa mise en œuvre et sur la définition des priorités.

Première conclusion essentielle : l’idée de la conversion écologique et sociale remporte une large adhésion dans le monde de l’entreprise. Dirigeants (73 %) et salariés (74 %) se rejoignent sur le fait qu’elle est aujourd’hui un passage obligé pour leur entreprise, considérant qu’elle peut aussi en améliorer la performance économique.

Mais ils sont également lucides sur sa mise en œuvre : chefs d’entreprise (70 %) et salariés (50%) estiment qu’elle peut être une contrainte supplémentaire pour leur activité et, dans une moindre mesure, qu’elle n’est pas la priorité en temps de crise économique…
Pour l’instant, la conversion écologique et sociale reste timide au sein des entreprises franciliennes. Les actions concrètes engagées, que ce soit en matière écologique ou sociale, n’ont pas toujours l’efficacité espérée… Par exemple, l’économie de papier est mise en place dans leur entreprise pour 66 % des salariés, mais seuls 34 % déclarent qu’elle l’a été « avec succès » ; ou encore seuls 27 % des salariés déclarent que des mesures pour l’amélioration des conditions de travail ont été mises en place « avec succès », contre 32 % qu’elles l’ont été, mais « sans grand succès ».   

Des pratiques très concrètes, mais encore timides…

Derrière ces résultats contrastés se cache toutefois une réelle prise de conscience de la responsabilité environnementale des entreprises : près d’un salarié sur trois pratique « avec succès » des démarches telles que l’économie de papier, un salarié sur quatre (23 %) déclare également que son entreprise développe « avec succès » des produits ou services plus respectueux de l’environnement…

Pour l’avenir, chefs d’entreprises et salariés ont les mêmes priorités

Economies d’énergie, de papier, de matériel, ou encore tri des déchets… Chefs d’entreprise et salariés se rejoignent sur les priorités écologiques d’avenir pour leur entreprise. Les attentes en matière sociale, naturellement plus fortes chez les salariés, sont pour autant les mêmes que celles des chefs d’entreprises : améliorer les conditions de travail, favoriser la conciliation entre vie professionnelle et familiale, renforcer le dialogue social…

Dernier enseignement de cette enquête, un constat partagé par les patrons et les salariés sur l’avenir de leur entreprise : dans 2 ou 3 ans, elle devra évoluer ou faire évoluer sa production afin de prendre davantage en compte les questions environnementales (68 % des chefs d’entreprises et 72 % des salariés), ainsi que les questions sociales  (65 % des chefs d’entreprises et 68 % des salariés).

*À l'approche de Noël : l'ADEME rappelle quelques solutions simples et efficaces pour réduire son impact sur l’environnement*

Bientôt les fêtes de fin d’année ! Au programme : belles lumières, bons repas, réunions entre proches et moments conviviaux… qui peuvent aussi rimer avec économies d’énergie et une bonne gestion des déchets produits. À cette occasion, l’ADEME rappelle aux particuliers et aux collectivités les solutions possibles pour profiter des fêtes de fin d’année, tout en maîtrisant son impact environnemental.

 Quelques conseils de l’ADEME pour le grand public
  • Guirlandes et illuminationsEn France, la puissance fournie pour les illuminations de Noël est estimée à 1 300 MW, dont les ¾ sont liés à la consommation des ménages. Parce qu'en période de pointe, l'électricité est issue en grande partie d'énergies fossiles, elle est fortement productrice de gaz à effet de serre. À l’achat, mieux vaut veiller à la consommation électrique de la guirlande mais aussi à sa qualité, afin de pouvoir la conserver pendant plusieurs années. Une fois installées, ne pas oublier d’éteindre les illuminations durant la journée et la nuit, une fois la maison endormie.
  • SapinLe sapin artificiel a le mérite d'être réutilisable plusieurs années. Mais il est changé en moyenne tous les trois ans, ce qui est une courte durée de vie. L’achat d’un sapin en pot peut être une bonne idée pour être ensuite replanté ou destiné à la déchèterie ou encore au compost proposé par certaines collectivités.
  • Cadeaux Les jouets sont souvent importés de pays lointains, leur fabrication et leur usageparfois très consommateurs d'énergie. Or cette période de fêtes est propice à de nombreux achats. Là encore, mieux vaut miser sur la qualité que la quantité. Noël peut être aussi l’occasion de faire jouer sa créativité et d’impliquer pourquoi pas les enfants pour créer des cadeaux originaux.
  • Repas de fête Pour composer son menu de fête tout en réduisant son impact sur l’environnement, il est conseillé de privilégier des produits de saison et si possible labellisés donc plus respectueux de l'environnement et/ou respectant des critères sociaux. Les fêtes de fin d’année offrent l’occasion de sortir une jolie vaisselle, ce qui permet en tout cas d’éviter l’utilisation d’assiettes et gobelets jetables en plastiques et donc tout autant de déchets.
  • Déplacements En cette période de fin d’année, le trafic routier peut augmenter de 50 % et les conséquences sont non négligeables pour l’environnement : pollution de l’air, émission de gaz à effet de serre, bruit, coût financier. En ville, 1/4 des trajets en voiture font moins d’1 km et il ne faut pas beaucoup plus de 1/4 d’heure pour parcourir ce kilomètre à pied ; pour faire ses courses, la marche à pied et le vélo sont donc des options appréciables. Pour rejoindre sa famille ou ses amis tout en limitant les nuisances, on peut opter pour les transports en commun ou encore, le co-voiturage : à ce jour, 80 % des conducteurs roulent seuls dans leur voiture. Si cela n’est pas possible, la pratique de l’éco-conduite reste une manière de limiter ses consommations en énergie.




Pour en savoir plus, RDV sur l’espace Éco-citoyens de l’ADEME :
« Un Noël sous le signe de l’écologie »



 L’ADEME accompagne également les collectivités pour une organisation éco-responsable des fêtes de fin d’année 

En la matière, les collectivités ont une vraie marge de manœuvre, notamment en matière d’éclairage des espaces publics, de mise à disposition des transports en commun, de collecte des déchets, d’organisation des marchés de Noël, etc. En outre, elles ont une mission de sensibilisation et d’information auprès du grand public et peuvent inciter les citoyens à adopter des pratiques éco-responsables.

C’est pourquoi l’ADEME propose aux collectivités un Guide des Bonnes Pratiques intitulé : « Organisation responsable des fêtes de fin d’année par les collectivités locales ».


Quatre thématiques sont abordées :
  • les déchets
  • les consommations électriques
  • les transports et déplacements
  • les achats
Pour chaque thématique, le guide propose :
  • des bonnes pratiques à mettre en œuvre par les collectivités
  • d’autres pour inciter habitants et entreprises à en faire autant
  • un zoom sur l’organisation du marché de Noël
  • une estimation de gains environnementaux envisageables
  • des exemples




Retrouvez le guide dans son intégralité sur le site web de l’ADEME :
« Guide des bonnes pratiques éco-responsables »



http://www2.ademe.fr/servlet/getDoc?cid=96&m=3&id=80827&ref=24691&p1=B

Bien à vous,

lundi 19 décembre 2011

*Isolation acoustique...France*


Selon une enquête de l'INSEE parue en 2002, plus d'un français sur deux se déclare gênés par le bruit lorsqu'il est chez lui. Il existe pourtant une réglementation et des solutions peu coûteuses pour venir à bout de la pollution sonore. A Saint Ouen, en banlieue parisienne, un petit immeuble, particulièrement bien isolé acoustiquement, vient de voir le jour. Ses locataires, comme Afif, qui habite au deuxième étage, profitent au quotidien d'un domicile silencieux
Partenariat ADEME / La maison France 5.



HUB (VIADEO) *21ème Siècle-'ECOLOGIE & INNOVATION': DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIe siècle!2.0 :

Bien à vous,

*Les éco-quartiers...France*


A l'heure où l'on parle de réduire nos émissions de gaz à effet de serre, la construction d'éco-quartiers devient un enjeu sans précédent dans l'aménagement urbain.
L'ancienne caserne militaire de Bonne à Grenoble est un éco-quartier précurseur. La construction a commencé en 2005 et va s'achever à la fin de l'année. Plus de 900 logements occupent cet espace composé aussi de commerces, d'espaces verts et autres infrastructures.
Partenariat ADEME / La maison France 5. 


HUB (VIADEO) *21ème Siècle-'ECOLOGIE & INNOVATION': DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIe siècle!2.0 :

Bien à vous,

samedi 17 décembre 2011

*Marché du carbone : Système de plafonnement et d'échange de droits d'émission de GES*


Le gouvernement fixe un plafond d'émission de GES pour l'ensemble des émetteurs visés. Ce plafond sera abaissé progressivement au fil des années.

Chaque année, les entreprises se verront accorder gratuitement par le gouvernement des droits d'émission (appelés aussi des « allocations ») correspondant à la quantité de GES qu'elles peuvent émettre, et ce, selon leurs émissions historiques et leur niveau de production.

Les entreprises qui émettent plus d'émissions de GES que le nombre d'unités allouées devront innover dans les technologies propres ou acheter des droits d'émission lors des enchères du gouvernement ou sur le marché du carbone.

Pour leur part, les entreprises qui émettront des GES en deçà de la quantité d'allocations reçues pourront vendre leurs crédits excédentaires à d'autres entreprises sur le marché du carbone.

La mise en place d'un système de plafonnement et d'échange de droits d'émission de gaz à effet de serre (GES) est un outil essentiel à l'atteinte de la cible québécoise de réduction des émissions de GES de 20 % sous le niveau de 1990, à l'horizon 2020.


MDDEPQuebec

*Le Québec s'unit à la Californie pour lancer une Bourse du carbone...*


M. Pierre Arcand, Ministre du Développement durable, de l'Environnement, et des Parcs - député provincial de Mont-Royal.

 Le gouvernement du Québec a annoncé jeudi qu'il emboîtait le pas à la Californie en lançant une Bourse du carbone dans la province en 2012, malgré le retrait du Canada du Protocole de Kyoto.
Le Québec devient ainsi la première des dix provinces canadiennes à adopter un règlement pour établir un système de plafonnement et d'échange de droits d'émission de gaz à effet de serre (GES), a annoncé le ministre de l'Environnement, Pierre Arcand.
La première année de ce marché des émissions de GES en sera une de transition afin de permettre aux émetteurs de se familiariser avec le fonctionnement du système, qui deviendra obligatoire en 2013 pour toutes les industries produisant plus de 25.000 tonnes de GES par année, a-t-il dit.
"Le Québec se place ainsi officiellement sur la ligne de départ, aux côtés de la Californie", a indiqué le ministère québécois de l'Environnement dans un communiqué, faisant allusion au lancement d'un marché similaire en 2012 dans cet Etat américain le plus peuplé.
A partir de 2015, les entreprises qui importent ou distribuent au Québec des carburants ou combustibles utilisés dans les secteurs du transport et du bâtiment seront également assujettis au plafonnement et à la réduction de leurs émissions.
Deuxième province la plus peuplée du Canada avec ses huit millions d'habitants, le Québec s'est donné pour objectif de réduire ses émissions de GES de 20% d'ici 2020 par rapport à 1990.
Le règlement adopté par la province est basé sur les règles établies par la Western Climate Initiative (WCI), qui réunit la Californie et quatre provinces canadiennes (Québec, Ontario, Colombie-Britannique et Manitoba).
Six autres Etats américains (Arizona, Nouveau-Mexique, Oregon, Washington, Utah et Montana) associés à la WCI ont refusé de mettre en place un marché du carbone.
Le Canada est devenu lundi le premier Etat à se retirer du Protocole de Kyoto, affirmant qu'il cherchait ainsi à éviter d'avoir à payer des pénalités de 14 milliards de dollars canadiens (13,6 mds USD).
Le ministre québécois a dénoncé la position "épouvantable" du Canada dans ce dossier. "Ce qui me révolte", a-t-il dit sur Radio-Canada, "c'est que le Canada a depuis maintenant nombre d'années sur ces questions, une position copie carbone de la position américaine. Et pour moi, c'est inacceptable".
Plusieurs associations écologistes ont salué la décision du Québec, pendant que les milieux économiques de la province francophone exprimaient leur inquiétude ou leur désaccord, à l'instar de la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ), qui représente 60.000 entreprises.
"Pour que ce projet ne nuise pas à la compétitivité des entreprises québécoises, il faudrait que plusieurs administrations, avec qui le Québec est en compétition, fassent la même chose, ce qui n'est pas le cas actuellement", a déclaré la présidente de la FCCQ, Françoise Bertrand.
Elle a notamment souligné le fait que les principaux partenaires commerciaux américains du Québec, les six Etats de la Nouvelle-Angleterre (nord-est), n'étaient pas signataires du WCI, et que l'Ontario "reculait sur l'entrée en vigueur" d'une telle Bourse.
MONTREAL - (AFP)

Bien à vous,