@ECOLOGIEI

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2006 création du HUB (VIADEO) *21ème Siècle-'ECOLOGIE & INNOVATION': DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIe siècle!2.0* Think Tank International : + de 3000 membres. *Morgane BRAVO Avocat de formation, études & expérience Diplomatique, Sciences Politiques... « Euroblogeur »...2002 en France : Candidate (titulaire) aux élections Législatives, dans la 14ème Circonscription de Paris. 16e arrondissement (Sud). Fondatrice *Morgane BRAVO, from Paris, France. She's graduate Lawyer and have a Master’s degree in Diplomacy & Political Science...Diplomatic experience.

jeudi 17 février 2011

*México, EU y Canadá : regularán el manejo de desechos electrónicos*

Expertos de Estados Unidos, México y Canadá trabajan sobre una nueva ley para regular el comercio ilegal de desechos electrónicos, según informó el representante de la Comisión de Cooperación Ambiental (CCA), Marco Heredia, en declaraciones a Efe.
EL CCA es un organismo trilateral creado para la protección del medio ambiente, que se coordina con el Tratado de Libre Comercio de América del Norte (TLCAN).

Representantes de los ministerios del Medio Ambiente de los tres países y de la CCA se reúnen esta semana en Guadalajara, capital del estado de Jalisco al occidente de México, para discutir las estrategias de combate al tráfico ilícito de aparatos electrónicos en desuso.

Heredia, gerente de proyectos de la CCA, declaró que muchos productos como los refrigeradores, la pantallas de computadora o los celulares son enviados de manera clandestina desde América del Norte a países de Asia o África, donde no existe la infraestructura ni la capacitación adecuada para su manejo.
Los desechos electrónicos son los componentes de dispositivos eléctricos, como teléfonos celulares, que contienen materiales tóxicos, como plomo, mercurio y cadmio, entre otros, de acuerdo con un estudio del Instituto Politécnico Nacional.
En Estados Unidos se desechan unos 100 millones de televisores, computadoras y monitores al año, en tanto que en México la cifra llega a siete millones de unidades, lo que equivale a más de 160,000 toneladas de desechos electrónicos. En Canadá la cifra se acerca a unas 80,000 toneladas, indicó el especialista.
"Casi el 70% de las computadoras y monitores usados en Estados Unidos acabará en un relleno sanitario y no se sabe a ciencia cierta qué ocurre con hasta un 75% de los desechos electrónicos generados en la Unión Europea", señala el sitio web del CCA.

"Hay mucho tráfico ilícito e irregular de desechos electrónicos. La Convención de Basilea y los acuerdos de la OCDE (Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económico) establecen que las instalaciones que reciben estos desechos deben estar adecuadas con la infraestructura y personal capacitado, y eso no ocurre en los países que las reciben", señaló el experto.

En Canadá sólo tres de las 13 provincias que la conforman cuentan con una ley de responsabilidad hacia productos electrónicos que son desechados, mientras que en Estados Unidos 23 de sus 50 estados regulan el tratamiento de esos residuos, recoge Efe.

México no cuenta con normas específicas para resolver este problema y sólo existe un punto de la ley general para la prevención y gestión integral de manejo de residuos, que data de 2003, "pero que sólo les da rango de desechos especiales y ordena programas de manejo en sus 32 estados".

Heredia precisó que una legislación trilateral buscará asegurar la reutilización y manejo de productos que emiten rayos catódicos, tarjetas de circuitos electrónicos que requieren tecnología especial.

Agregó que los refrigeradores, en particular los más antiguos, generan gases de efecto invernadero por kilo 12,000 veces más fuertes que otros aparatos.

La iniciativa trilateral pretende generar oportunidades para el aprovechamiento de materiales como la plata, el oro, el cobre o el paladio, utilizados para la fabricación de celulares.

"En América del Norte estamos perdiendo oportunidades al no reutilizar los materiales que contienen. Se calcula que una tonelada de teléfonos celulares tiene 325 gramos de plata, otras cantidades de oro o cobre que se pueden recuperar. Ninguna extracción minera por tonelada te da esos beneficios", dijo.

Autoridades del CCA se reunieron durante dos días con pequeños y medianos empresarios mexicanos en un taller sobre reciclaje y ensamblaje de desechos electrónicos como parte de las estrategias para comenzar a elaborar la legislación.

(CNNMéxico)

Bien à vous,
Morgane BRAVO

jeudi 3 février 2011

*Martonyi : un euro fort, des institutions fortes...*


Lors de la réunion du Conseil Affaires générales tenue le 31 janvier 2011, les Etats membres ont assuré de leur soutien le programme de la présidence hongroise présenté par János Martonyi, ministre des Affaires étrangères. La présidence hongroise est intéressée par une Union forte, un euro fort et par de fortes institutions coopérant étroitement les unes avec les autres.
Une « Europe forte avec une dimension », telle est la devise du programme semestriel, a souligné M. Martonyi pendant son intervention, et pour cela, la présidence hongroise œuvre à renforcer, outre l’Union et l’euro, les institutions, et s’efforce à ce que celles-ci coopèrent entre elles de manière étroite. Le ministre a mis l’accent sur la continuité dans le cadre du trio des présidences et il a apprécié les activités des présidences espagnole et belge précédentes.

Affaires économiques et financières au premier plan
C’est autour de quatre priorités que Martonyi a regroupé les activités semestrielles de la présidence. La Hongrie accordera une attention particulière aux affaires économiques et financières. Pour renforcer l’Europe, la stabilisation de l’euro et de la zone euro, la réforme du système de la gouvernance économique et la mise en marche du semestre européen sont des missions primordiales. Plus tard, l’agenda de celui-ci a été débattu et adopté par le Conseil Affaires générales.
L’objectif principal de la présidence est de conclure un accord, d’ici trois mois au plus tard, concernant les six lois portant sur le renforcement de la gouvernance économique, a souligné le ministre. Il a également ajouté que la Hongrie fera, en plus d’éliminer les conséquences de la crise, tout pour démarrer le moteur de la croissance de l’économie réelle, et lancer immédiatement la réalisation de la stratégie Europe 2020, tout en se concentrant sur la création d’emplois et l’approfondissement du marché intérieur.

Fortes politiques communautaires
La présidence hongroise est du côté des fortes politiques communautaires, que ce soit la politique de cohésion ou la politique agricole, étant donné qu’elles constituent l’une des assurances de la compétitivité de l’Union Européenne. Martonyi a souligné que la construction des fondements de la politique énergétique commune est un nouveau défi pour l’Union et en rapport à cela, la Hongrie a des tâches importantes  à réaliser au niveau du marché unique de l’énergie, de la sécurité énergétique et de l’infrastructure énergétique.

Une approche humaniste
Le facteur humain, l’approche humaniste est une des lignes directrices du programme présidentiel hongrois, a déclaré le ministre des affaires étrangères à la réunion du Conseil. L’inclusion sociale, l’intégration des Roms, constitue un des éléments clé du programme tandis que la Hongrie souhaiterait approcher l’Union de ses citoyens par le biais de la protection et le respect des droits fondamentaux ainsi que le renforcement de la sécurité. Par ailleurs M.Martonyi a souligné que l’élargissement de l’espace Schengen – l’adhésion de la Bulgarie et de la Roumanie – figure toujours parmi les priorités de la présidence. Selon la position hongroise, le processus doit être déterminé par la performance réelle de la Bulgarie et de la Roumanie et la présidence s’efforce de trouver une solution satisfaisante pour tous les Etats membres.

Elargissement et politique de voisinage
L’élargissement, qui renforce la stabilité, la paix et la cohésion sociale dans de plus en plus de pays européens, constitue le quatrième grand sujet de la présidence. La Hongrie fera tout pour que tous les pays candidats puissent faire un pas en avant, a affirmé Martonyi qui, a en même temps, exprimé le désir de ne pas voir le processus d’élargissement ralentit par des débats bilatéraux. Le ministre hongrois des Affaires étrangères a également soutenu le renouvellement de la politique de voisinage de l’Union en signalant que le renforcement des relations avec les six pays du Partenariat oriental était l’objectif principal de la présidence.
En résumé Martonyi a estimé que l’activité de la présidence hongroise était déterminée par l’idée de l’intégration. Dans le cadre de la stratégie pour le Danube, six pays hors de l’Union seront inclus dans la coopération macro-régionale, l’espace Schengen est prêt à accueillir la Bulgarie et la Roumanie et les négociations d’adhésion avec la Croatie sont sur le point d’être closes. Dans un sens plus large le Partenariat oriental touche également à l’idée de l’intégration qui, selon la position hongroise, en dehors de la création des relations économiques et commerciales doit également contribuer à la propagation des principes et des valeurs européennes.

La commission fournit tout le soutien possible
Au nom de la Commission Maroš Šefčovič a promis que l’organe soutiendra par tous les moyens la mise en œuvre du programme de la présidence, et a accordé une importance primordiale à l’approche humaniste. Šefčovič a accueilli très favorablement l’intention de la présidence de travailler en collaboration étroite avec le Parlement européen. Les ministres des Etats membres ayant pris la parole ont salué unanimement le programme de la présidence. L’adjoint du chef du gouvernement luxembourgeois et ministre des Affaires étrangères, Jean Asselborn a demandé à János Martonyi de modifier la loi hongroise sur les médias. Dans sa réponse Martonyi a affirmé que la Hongrie respecte les valeurs de la démocratie et la liberté de la presse.

Bien à vous,
Morgane BRAVO

*La présidence poursuit la recherche d’un compromis relatif aux nouveaux aliments...*


Sous la direction de la présidence hongroise, un trilogue et une réunion de conciliation ont eu lieu le 1 février, au soir, à Bruxelles, concernant le renouvellement du règlement de 1997 portant sur les nouveaux aliments. Le Conseil représentant les gouvernements des Etats membres, la Commission et le Parlement européen ne parviennent pas à trouver un accord relatif à ce domaine depuis 2008.

Aujourd’hui, à l’issue du débat qui s’étend depuis deux ans, les trois institutions acceptent que la production et la commercialisation des aliments issus d’animaux clonés doivent être réglementées par un texte législatif indépendant (qui contiendra également d’autres aspects du clonage) et donc sortir ce sujet du nouveau règlement. Le désaccord concerne la période transitoire.

Toutes les parties acceptent le fait qu’un moratoire provisoire doit être instauré, en attendant la nouvelle réglementation, concernant la production et la commercialisation des aliments issus d’animaux clonés. Mais les opinions divergent quant à la rigueur et la réalisation technique du moratoire.

Un groupe d’Etats membres représentés au Conseil souhaiterait un moratoire plus strict portant également sur les progénitures des animaux clonés en imposant un suivi rigoureux. Mais la plupart des Etats membres ne souhaiterait pas étendre le moratoire sur les progénitures des animaux clonés et le suivi ne serait qu’une possibilité puisqu’il imposerait une charge trop importante pour les producteurs.
Par contre, le Parlement souhaite étendre le moratoire sur tous les degrés de descendance des progénitures d’animaux clonés.

Les opinions du Parlement, de la Commission et du Conseil divergent concernant le statut juridique du moratoire. Le Parlement souhaite que le moratoire provisoire soit réglementé par un texte législatif contraignant tandis que la Commission et le Conseil, craignant qu’un texte législatif ne soit contraire aux conventions commerciales internationales, pensent qu’il suffit que le moratoire revête la forme d’une déclaration conjointe.

Un autre désaccord entre le Parlement, le Conseil et la Commission porte sur la forme de l’acte juridique permettant de dresser la future liste des nouveaux aliments conformément au règlement renouvelé relatif aux nouveaux aliments. Le Parlement exigerait de recourir à l’« acte délégué » (delegated act) qui permettrait au Conseil et au Parlement de rejeter à la majorité qualifiée la proposition de la Commission concernant la liste. Mais la Commission et le Conseil, en faisant référence au traité, propose l’« acte d’exécution ».

A l’issue de la rencontre trilogue, la présidence hongroise a convoqué la réunion du comité de conciliation avec la participation des représentants du Parlement et du Conseil. Lors de cette réunion les représentants des groupes politiques du Parlement ont confirmé la position du PE.
La présidence hongroise a constaté que le rapprochement des positions est resté infructueux et qu’il est nécessaire de poursuivre le processus de conciliation. Le prochain trilogue aura lieu la 15 février à Strasbourg tandis que la réunion du comité de conciliation aura lieu en mars.

Bien à vous,
Morgane BRAVO

*2011 : L’Année internationale des forêts*


Pour l’avenir de notre planète, la prise de conscience internationale sur l’urgence à sauver les forêts doit se transformer en acte : inscrire aujourd’hui le respect des forêts dans l’effort du développement durable constitue une nécessité. C’est cette sensibilisation de chacun d’entre nous que vise le lancement de l’Année internationale des forêts, aujourd’hui 2 février 2011, au Siège de l’ONU.

« Chacun d’entre nous, c’est-à-dire chacun des sept milliards d’habitants que compte notre planète, est lié physiquement, économiquement et spirituellement aux écosystèmes forestiers », a pour sa part noté la Directrice du secrétariat du Forum des Nations Unies sur les forêts, Madame Jan Mc Alpine. « Au cours de l’année 2011, nous célébrerons cette relation complexe et cette interdépendance entre les forêts et les peuples », a-t-elle déclaré. Ainsi, au moins 1,6 milliard de personnes dépendent directement de l’exploitation des forêts pour vivre, et plus de 60 millions de personnes, principalement des habitants de communautés locales et autochtones, habitent les écosystèmes des forêts.
Donc une sensibilisation et une célébration : car il faut se rappeler à quel point les forêts sont essentielles à la vie des populations. Gérées de façon durable, les forêts tiendront un rôle dans l’atténuation des effets du changement climatique : elles contribuent à réguler les émissions de CO2, elles fournissent bien sûr du bois, et puis elles fournissent également toute une pharmacopée, et des moyens de subsistance aux peuples du monde entier.
La fondation Chirac ne peut que saluer cette initiative internationale, qui va porter le plus largement possible les voix des défenseurs de l’environnement, en lien avec des réflexions approfondies sur des questions afférentes à celle de la préservation et de la gestion des forêts.

 LA SUITE :


Bien à vous, 
Morgane BRAVO