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2006 création du HUB (VIADEO) *21ème Siècle-'ECOLOGIE & INNOVATION': DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIe siècle!2.0* Think Tank International : + de 3000 membres. *Morgane BRAVO Avocat de formation, études & expérience Diplomatique, Sciences Politiques... « Euroblogeur »...2002 en France : Candidate (titulaire) aux élections Législatives, dans la 14ème Circonscription de Paris. 16e arrondissement (Sud). Fondatrice *Morgane BRAVO, from Paris, France. She's graduate Lawyer and have a Master’s degree in Diplomacy & Political Science...Diplomatic experience.

mardi 29 mars 2011

*L’Union européenne doit agir de façon concertée lors des négociations sur le climat*

L’Union européenne est favorable à l’adoption, pour la période après 2012, d’un accord contraignant pour toutes les parties en matière de protection du climat et souhaite jouer un rôle primordial dans son élaboration, ce dont on convenu les participants de la réunion informelle du Conseil « Environnement » qui s’est tenue à Gödöllő le 26 mars 2011. Les avis divergeaient néanmoins sur les modalités de sa réalisation.

Le Conseil « Environnement » a adopté, le 14 mars, des conclusions relatives aux négociations sur la protection du climat qui ont eu lieu en 2011, bien qu’il n’y ait pas eu, à cette occasion, de débat sur la stratégie à adopter. La réunion de Gödöllő a donné l’occasion d’un premier échange de vues en la matière. La question est d’autant plus actuelle que la période d’engagement fixée par le protocole de Kyoto arrivera à expiration le 31 décembre 2012. D’âpres négociations sont en cours depuis des années en vue de définir la marche à suivre mais aucun accord n’a pour l’heure été adopté.
Lors de l’échange de vues qui a lieu à Gödöllő, les vingt-sept Etats membres ont convenu de la nécessité d’un accord global et juridiquement contraignant pour tous les importants émetteurs de CO2. L’adoption d’un accord international d’ici fin 2012 est néanmoins peu probable. Par conséquent, même si un accord voit le jour pour la période d’après Kyoto, il y aura probablement une période transitoire de quelques années entre les la période d’engagement de Kyoto et la nouvelle période d’engagement. Des mesures juridiques spécifiques pourraient être nécessaires pour la période transitoire.
Les ministres ont convenu de la nécessité d’améliorer la communication avec les pays en développement (qui ne sont pas concernés par l’obligation de réduction d’émissions imposée par le protocole de Kyoto).
Certains ministres ont proposé des stratégies de négociation en ce qui concerne les nouveaux engagements éventuels de l’Union et les mesures que cette dernière devrait prendre si d’importants émetteurs de CO2 n’étaient pas disposés à prendre des engagements. Plusieurs ministres ont souligné combien il était important de définir clairement, lors de la réunion du Conseil « Environnement » prévue pour octobre 2011, la position de l’Union européenne pour le prochain cycle de négociations en Afrique du Sud.
A Gödöllő, les vingt-sept Etats membres ont unanimement souligné l’importance de la capacité de l’Union à agir de manière concertée lors de la conférence sur la protection du climat qui aura lieu à Durban fin 2011. C’est ce qu’a déclaré, lors de la conférence de presse consécutive à la réunion, Tamás Fellegi, ministre du développement national, qui présidait la réunion. Connie Hedegaard, commissaire européenne en charge de l’action pour le climat, a confié, lors de la conférence de presse, que la situation était déjà difficile sous Kyoto mais qu’elle serait encore plus difficile sans l’accord, raison pour laquelle l’engagement de Kyoto devait être maintenu étant donné que plusieurs années de négociations avaient été nécessaires pour que le protocole soit adopté.
Lors du déjeuner de travail, les ministres ont procédé à un échange de vues sur la feuille de route pour la décarbonisation adoptée par la Commission le 8 mars 2011, qui expose des méthodes peu coûteuses permettant à l’Union européenne de réduire ses émissions de CO2 de 80 à 95 % par rapport au niveau de 1990. Sur le long terme, la réduction prévue par la feuille de route est de 40 % d’ici à 2030 et de 60 % d’ici à 2040, toujours par rapport au niveau de 1990.
La veille, le Conseil « Environnement » avait débattu de la protection des réserves d’eau, constatant que l’Union européenne avait besoin d’une politique intégrée de l’eau.
28 mars 2011

Bien à vous,
Morgane BRAVO

dimanche 27 mars 2011

*Le nucléaire et l'immigration clandestine à Lampedusa...*



Après la catastrophe nucléaire au japon, la situation est toujours critique à la centrale de Fukushima. En Europe, alors que le nuage radioactif survole le continent le débat sur le nucléaire est relancé,. Les pays européens doivent-ils suspendre leurs programmes nucléaires ? La sécurité des sites doit-elle être repensée ? L'Europe peut-elle prendre des mesures ?

Bien à vous,
Morgane BRAVO

dimanche 20 mars 2011

*Un crâne humain âgé de 10.000 ans découvert dans les fonds marins du Mexique

Dans la grotte baptisée

La découverte vient d'être officialisée mais date de 2007. Des plongeurs ont découvert cette année là dans une caverne sous-marine de la péninsule du Yucatan au Mexique un crâne humain reposant à côté d'ossements de mastodonte et d'autres animaux historiques. D'après leurs hypothèses, celui-ci aurait été déposé là il y a plus de 10.000 ans alors que la grotte n'avait pas encore été inondée par la mer. Il pourrait ainsi appartenir à un des tout premiers hommes débarqués sur le continent américain, les Paléoindiens.
15 mars 2011




Bien à vous,
Morgane BRAVO

jeudi 17 mars 2011

*L'Agence Parisienne du Climat*


Un message du président
Denis Baupin est président de l’Agence Parisienne du Climat, il revient dans cette vidéo sur le contexte et les raisons de la création de l’Agence.

http://www.apc-paris.com

Bien à vous,
Morgane BRAVO

dimanche 13 mars 2011

*Shinmoedake volcanic eruption... : Japon*




Bien à vous,
Morgane BRAVO

*Eva Joly dénonce l'omerta sur le nucléaire ...Risque sismique dans les centrales françaises*





Bien à vous,
Morgane BRAVO

*Japon la ville solaire futuriste...*



25 nov. 2008  

Ces panneaux rectangulaires sombres pourraient détenir la clé d'une complète autonomie de cette communauté.

La ville d'Ota, située à environ 80 kilomètres au nord de Tokyo, est l'un des endroits les plus ensoleillés du Japon et abrite des champs de fraises.

C'est sur ce lieu naturel particulièrement intéressant que 550 foyers ont reçu de la part du gouvernement des panneaux solaires gratuits, entrant dans le cadre d'une étude sur la façon d'éviter les pannes d'électricité en partageant la puissance solaire.

La famille de Mika Hiroshima a emménagé dans le secteur il y a trois ans afin de tester l'énergie solaire. Leurs installations électriques fonctionnent pratiquement toutes à l'énergie solaire et lorsqu'ils ont de l'électricité non utilisée, ils peuvent la vendre à une entreprise locale et gagner jusqu'à 5000 yens, ce qui équivaut à environ 50 dollars US par mois.

[Mika Hiroshima, la maîtresse de maison]:
"Je n'avais jamais pensé que je recevrais de l'argent au lieu d'en payer en recevant mes factures d'électricité. Les gens m'avaient dit combien ce système était bon mais je n'y croyais pas jusqu'à ce j'ai vu les chiffres négatifs apparaître sur mes factures d'électricité. Alors j'ai réalisé à quel point ce système est merveilleux."

Les fabricants de panneaux solaires disent qu'en plein midi par beau temps, un générateur d'énergie de 4 kilowatts posé sur un toit peut produire suffisamment d'énergie pour faire tourner quatre machines à sécher le linge à la fois. Par temps couvert, l'énergie générée représente un peu moins de la moitié de ce résultat.

Des experts disent que si les familles devaient les acheter au prix du marché, cela prendrait deux à trois décennies avant qu'ils ne puissent couvrir les frais se montant à environ deux millions de yens (20000 de dollars US)

Le directeur de développement du logement, Kazuo Nakashima, dit que le coût d'un équipement reste encore le plus grand défi dans la multiplication de ce système favorable à l'environnement.

[Kazuo Nakashima, Directeur de Développement du Logement]:
"A travers ce projet, nous avons résolu des problèmes techniques concernant l'énergie solaire dans les maisons privées. Maintenant, le plus grand défi est comment réduire le coût des panneaux solaires et de l'équipement relié."

Le gouvernement japonais a abandonné les subventions pour les panneaux solaires en 2006, mais prévoit de les remettre en place l'année prochaine, avec de nouvelles subventions qui couvriraient 10 pourcent des frais d'installations.

 


Bien à vous,
Morgane BRAVO

samedi 12 mars 2011

*Un forum à Bruxelles consacré à l’amélioration du financement pour les acteurs de l’éco-innovation*

Le 9e forum ETAP, qui s’est tenu à Bruxelles, s’est intéressé aux moyens d’améliorer la compréhension entre les entreprises, les organismes financiers et les décideurs politiques en vue d’apporter un soutien accru aux entrepreneurs éco-innovants d’Europe.

«Financer les acteurs de l’éco-innovation» (Financing the eco-innovators): tel était le thème du 9e forum européen sur l’éco-innovation, qui a attiré près de 300 parties prenantes de haut niveau issues de l’industrie, du monde financier et de la sphère politique. Cet évènement était organisé à l’initiative conjointe de la Présidence belge de l’UE et de la Commission européenne.
«Il est très important d’améliorer l’efficacité des ressources et de permettre à l’Europe de conserver sa position de chef de file au sein d’un vaste marché mondial en pleine croissance», explique William Neale, membre du cabinet de Janez Potočnik, commissaire européen en charge de l’environnement. «L’éco-innovation est au cœur du changement et doit donc occuper une place centrale dans nos politiques. Nous devons mobiliser des ressources privées, établir un nouveau paradigme risque/rétribution et veiller à ce que le bon soutien soit apporté au bon endroit».
Le financement est essentiel pour favoriser la mise sur le marché de produits et services éco-innovants. Toutes les entreprises innovantes - principalement des petites et moyennes entreprises (PME) - rencontrent des difficultés pour obtenir des financements d’amorçage. C’est encore plus difficile pour celles dont les activités consistent à imaginer de nouvelles idées permettant de répondre aux défis technologiques et sociétaux liés aux questions environnementales et au changement climatique. En raison de conditions concurrentielles inégales, ces entreprises ont besoin d’une aide financière à la fois publique et privée. En outre, les organismes financiers ne comprennent généralement pas les technologies, et les entrepreneurs eux-mêmes ne possèdent pas forcément les compétences commerciales de base.
Si les pouvoirs publics peuvent fournir un soutien au moyen de marchés publics écologiques et de formations axées sur les compétences, les banques, les organisations de capital-risque et les grandes sociétés ont un rôle important à jouer en encourageant la créativité et la flexibilité offertes par les PME éco-innovantes. L’Europe possède une multitude d’instruments financiers axés sur l’éco-innovation, mais il convient encore de les affiner et de les améliorer. Cela est d’autant plus important que l’UE est en train d’élaborer des programmes de financement pour la décennie à venir.
L’accent a été mis sur la nécessité non seulement d’améliorer l’accès au financement déjà disponible, mais aussi d’adapter les instruments existants de manière à mieux répondre aux besoins des PME éco-innovantes - souvent au moyen de financements à échelle plus réduite ou de facilités de crédit. Les gouvernements devraient également assurer une plus grande stabilité politique, étant donné que les investisseurs envisagent leurs rendements sur une période de cinq à dix ans. Les organismes publics devraient par ailleurs mobiliser des ressources financières afin d’améliorer l’efficacité du financement.
L’un des grands résultats du forum a été l’élaboration d’une série de recommandations pour les nouvelles perspectives financières de l’UE et de ses États membres, s’inscrivant dans le prolongement de la stratégie Europe 2020 pour une croissance intelligente, durable et inclusive. Parmi ces recommandations figuraient:
  • la stabilité des règlementations, du cadre politique et des marchés publics, afin d’attirer les investisseurs;
  • l’élaboration d’une gamme de possibilités de financement pour les PME éco-innovantes, comprenant notamment des facilités de crédit et des financements à échelle réduite, car le capital-risque est de nature très sélective et ne peut pas répondre aux besoins de tous;
  • l’examen et la simplification des démarches administratives à entreprendre pour obtenir une aide publique;
  • l’établissement de conditions plus flexibles de partage des risques, afin d’impliquer davantage d’acteurs financiers - à savoir les banques - dans ce domaine politique fondamental;
  • une meilleure compréhension du rôle que les «business angels» peuvent jouer pour soutenir l’éco-innovation, ceux-ci ne fonctionnant pas de la même manière que les sociétés de capital-risque;
  • une utilisation intelligente du financement public à travers l’exercice d’un effet de levier, en s’en servant comme d’un complément au financement privé;
  • une implication accrue des grandes sociétés et une meilleure compréhension de la manière dont celles-ci contribuent au financement de l’éco-innovation; et enfin
  • la nécessité de prendre en considération la dimension internationale du financement de l’éco-innovation, afin de répondre aux défis posés dans ce domaine par la concurrence mondiale.
«L’éco-innovation fait partie de la stratégie Europe 2020», conclut Timo Mäkelä, directeur chargé des affaires internationales, du financement en matière d’environnement et de l’éco-innovation à la DG Environnement de la Commission européenne. «Elle est essentielle pour conjuguer politiques ambitieuses et création d’emplois. Les défis environnementaux sont connus, tant au niveau de l’UE qu’au niveau mondial, et constitueront des facteurs déterminants dans ce domaine. Pour promouvoir l’éco-innovation, il nous faut des programmes européens - et pas seulement financiers.

Pour de plus amples informations:

*Jeter les bases d’une construction durable : Secteur du Bâtiment...*

L’utilisation de matériaux de construction recyclés et durables pourrait rendre le secteur du bâtiment plus respectueux de l’environnement. Grâce à ces matériaux, les promoteurs pourraient réduire leurs émissions et économiser de l’énergie.

Si l’Europe parvient à atteindre son objectif de réduction de ses émissions et de sa consommation d’énergie d’au moins 20% d’ici 2020, la durabilité des méthodes de construction actuelles devra être remise en question. Selon la Commission Européenne, la consommation d’énergie dans les immeubles résidentiels et les immeubles commerciaux représente environ 40% de la consommation d’énergie totale et des émissions de CO2 de l’Europe.
L’amélioration de la durabilité des méthodes de construction est directement liée au problème du rendement des ressources énergétiques. Tous les secteurs – y compris le bâtiment – doivent gérer leurs ressources de manière durable afin de réduire les impacts sur l’environnement.
Le rendement des ressources énergétiques – l’une des questions-phare du plan d’action en faveur des écotechnologies (ETAP) – fait partie des principaux enjeux de la stratégie «Europe 2020», et a pour but d’aider l’Europe à encourager le développement «vert», les innovations et la création d’emplois liés au respect de l’environnement. Pour cela, la stratégie met l’accent sur le «Développement durable», et a créé une initiative majeure pour l’Union Européenne : «Resource efficient Europe».
La quantité d’énergie nécessaire pour fabriquer et transporter les matériaux de construction traditionnels (énergie intrinsèque) a incité les promoteurs à rechercher de nouvelles alternatives. Avec les matériaux durables, l’énergie intrinsèque globale des immeubles peut être réduite.
En ayant recours à des matériaux durables, le secteur du bâtiment européen peut utiliser les ressources de manière plus pragmatique, et générer davantage de valeur tout en réduisant son impact sur l’environnement. Si l’Union Européenne parvient à améliorer de 20% le rendement des ressources énergétiques, la croissance économique augmentera alors de 1%. En outre, le recours à des matériaux de construction durables peut stimuler la création d’emplois par le biais du «développement vert»– l’un des principaux objectifs de la stratégie «Europe 2020».

La durabilité «brique après brique» ...

Le recours à des méthodes de maçonnerie alternatives peut accroître la durabilité du processus de construction. En abandonnant les matériaux à haut niveau d’énergie intrinsèque – lié à leur extraction, à leur production, à leur fabrication et à leur transport – les promoteurs ont désormais la possibilité de construire des immeubles réellement durables.
Le processus CEB (blocs de terre comprimés) consiste à compacter de la terre humide à l’aide de presses portatives spécialement conçues de façon à former des blocs de construction à faible coût et respectueux de l’environnement. Étant donné que ces blocs peuvent être fabriqués à partir de la terre disponible sur le chantier, les émissions liées au transport des matériaux sont éliminées.
Ces blocs conviennent parfaitement pour les constructions durables, étant donné qu’ils offrent des niveaux de performances thermiques élevés, et permettent donc d’accroître le rendement énergétique. En outre, tout comme les briques crues (briques formées de sable, d’argile et de matières organiques), les CEB sont des matériaux non toxiques fabriqués sans produits chimiques.
L’utilisation de matériaux recyclés dans le cadre du processus de construction est une autre technique durable adoptée par les promoteurs «verts». En réutilisant des matériaux récupérés à la suite de la démolition ou de la rénovation d’immeubles, les promoteurs ont la possibilité d’accroître considérablement le niveau de durabilité du secteur de la construction.
Selon SustainableBuild.co.uk, l’utilisation de matériaux recyclés, récupérés en toute sécurité sur les chantiers de démolition d’immeubles, pourrait réduire les impacts sur l’environnement et jusqu’à 95% des coûts de traitement, en éliminant toute production inutile de nouvelles matières premières, et en réduisant la quantité de déchets envoyés à la décharge.
Les briques, les ardoises, les tuiles, les cheminées, les portes et les fenêtres peuvent être réutilisées pour les nouvelles constructions. En plus de réduire la quantité de déchets, l’utilisation de matériaux recyclés n’a quasiment aucune incidence sur l’environnement.

Des isolations durables ...

L’utilisation de matériaux isolants à base de pétrole, comme la fibre de verre et le plastique alvéolaire, est incompatible avec le développement durable. En outre, de nombreux matériaux isolants contiennent des produits ignifuges et des adhésifs chimiques, et présentent des niveaux d’énergie intrinsèque élevés. Fort heureusement, des solutions d’isolation alternatives et durables sont proposées sur le marché. Parmi ces moyens d’isolation «verts», on retrouve les composites de chanvre et de chaux, les fibres de lin et les fibres de bois.
 Deux autres alternatives, la laine de mouton et la cellulose, présentent également un rendement énergétique intéressant tout en éliminant les impacts négatifs sur l’environnement liés aux matériaux classiques. Les isolations en laine de mouton, par exemple, nécessitent moins de 15% de l’énergie requise pour fabriquer des isolations en fibre de verre.
 La laine de mouton peut absorber et rejeter l’humidité de l’air ambiant sans compromettre son rendement thermique. Pendant l’hiver, la laine produit de l’énergie sous forme de chaleur tout en absorbant l’humidité. Pendant les mois plus chauds, la laine rejette naturellement cette humidité, créant ainsi un effet réfrigérant au sein de l’immeuble.
 La cellulose, qui est constituée de papier journal recyclé et d’autres sources de papier, peut être placée dans des murs creux afin de servir d’isolation. La fabrication de ce matériau nécessite beaucoup moins d’énergie que la fibre de verre ou les produits en plastique alvéolaire, et présente un niveau d’énergie intrinsèque moins élevé. Selon le Canadian Building Magazine, la fibre de verre utilise au moins 10 fois plus d’énergie intrinsèque que la cellulose.

Des revêtements de sol durables ...

En ce qui concerne les revêtements de sol écologiques, les modèles en caoutchouc durent longtemps et n’utilisent pas d’adhésifs. Contrairement aux matériaux traditionnels, comme le vinyle (à base de pétrole), les revêtements de sol en caoutchouc sont 100% recyclables.
 Les sols en caoutchouc composés de gomme de pneumatiques recyclée peuvent également être fabriqués à l’aide d’un processus «à zéro émission de chaleur», qui permet ainsi de réduire la pollution de l’air. Le caoutchouc recyclé est assemblé avec des déchets de fabrication et des charges organiques à l’aide d’un polymère de polyuréthane à base d’eau. Ce processus ne nécessite pas de chaleur.
En variante, les revêtements de sol en bambou peuvent être une solution viable pour les consommateurs qui préfèrent l’apparence des sols en bois. Étant donné que le bambou est le végétal ligneux qui pousse le plus vite, il se renouvelle davantage que le bois d’œuvre traditionnellement utilisé pour les revêtements de sol (hêtre et chêne).
 En plus d’être écologique, le bambou offre certains avantages par rapport au bois dur. Grâce à son plus grand nombre de fibres, il dure plus longtemps et est mieux adapté aux changements de température.
Ces solutions «vertes» ne sont en aucun cas les seules alternatives écologiques disponibles pour le secteur du bâtiment. Elles représentent tout simplement la grande variété de substituts aux matériaux traditionnels existants. L’utilisation de ces matériaux «verts» par le secteur du bâtiment en Europe permettrait de réduire considérablement les niveaux actuels de consommation d’énergie et d’émissions du secteur.
  
European Union

Pour en savoir plus :

*Un forum à Bruxelles consacré à l’amélioration du financement pour les acteurs de l’éco-innovation*

Bien à vous,
Morgane BRAVO

vendredi 11 mars 2011

*VIDEOS..."Séisme Historique" d'une magnitude de 9 au Japon *En Direct...*

Un très violent séisme d'une magnitude de 8,9 s'est produit ce vendredi 11 Mars 2011,  au large des côtes nord-est du Japon, faisant violemment tanguer les immeubles de Tokyo et déclenchant une alerte contre un risque de tsunami jusqu'à six mètres de haut.

LIVE

Japan earthquake: CCTV video of tsunami wave hitting airport .








*Violent séisme d'une magnitude de 8,9 au Japon : IN LIVE* 
http://t.co/3ZK23cA

Bien à vous,
Morgane BRAVO

dimanche 6 mars 2011

*TOUS AU VERT : Présenté par Samuel Etienne...*

  
TOUS AU VERT 
Présenté par Samuel Etienne 

03/03/2011

Pour cette cinquième page de Tous au Vert épaulée par Samuel Etienne, trois nouvelles initiatives sont soumises au vote de Charlotte, Dimitri, Guillaume, Mathilde, Mylène et Nathalie, notre jeune jury d'experts. La première à entrer en lice se nomme Terra Botanica et concerne le premier parc européen ludique créé autour du végétal (Angers). Géotexia, la seconde, donne son nom à une usine qui produit de l'énergie à partir de lisier de porcs (Bretagne). Enfin la troisième, « la petite reine » livre aujourd'hui plus d'un million et demis de colis dans quatre villes françaises à dos de...tricycles. A qui de nos trois coureurs le jury décernera t il le maillot jaune ?
 
Bien à vous,
Morgane BRAVO