***La contribution du groupe Air France‑KLM au changement climatique consiste principalement dans les émissions de gaz à effet de serre produites par les moteurs des avions. Le groupe assume et anticipe ses responsabilités au regard de cet enjeu planétaire, notamment par son « Plan Climat » et sa flotte moderne en renouvellement permanent. Il mobilise l’ensemble de ses entités pour réduire son empreinte carbone, en poursuivant l’optimisation des vols, en réduisant l’impact de ses opérations au sol et en s’investissant fortement dans la recherche. Air France et KLM ont pris des engagements publics de réduction de leurs émissions de CO2. Le groupe reconnaît en la biodiversité un enjeu planétaire majeur. Bien que son impact direct soit limité, son effet indirect au travers du changement climatique, retient toute son attention.
Les principaux impacts environnementaux directs sont les émissions gazeuses et sonores des avions et, dans une moindre mesure, les rejets liquides, gazeux et solides générés par les activités au sol. Au niveau local, l’impact majeur réside dans les nuisances sonores, que la modernisation de la flotte et la généralisation de l’Approche en Descente Continue permettent de réduire, ainsi que les émissions de NOx qui affectent la qualité de l’air. Le service à bord, la maintenance et les autres activités au sol consomment de l’énergie, de l’eau et génèrent des déchets et des rejets gazeux et liquides, avec des risques de pollution des sols. Les autres impacts indirects concernent l’activité sur les sites aéroportuaires, l’empreinte écologique des fournisseurs et la fin du cycle de vie des avions, dont l’optimisation du démantèlement constitue désormais un enjeu majeur pour le groupe.
► Le Plan Climat du groupe Air-France KLM
Comme tout mode de transport, l’avion est à l’origine d’émissions gazeuses et Air France a engagé une démarche de maîtrise de ses émissions. Aujourd’hui, les émissions gazeuses de son activité augmentent moins vite que son trafic lui-même. Conscient de son rôle dans la lutte contre le changement climatique, le groupe Air France-KLM s’est doté d’un Plan Climat
Nous soutenons le protocole de Kyoto et les efforts menés en vue d’atteindre un nouvel accord à Copenhague. Nous participons à des initiatives visant une juste contribution du secteur aérien aux efforts collectifs, qui repose à l’échelle mondiale sur une approche différenciée selon les niveaux de développement des pays (Kyoto) et sur l’égalité de traitement des compagnies aériennes (Convention de Chicago).
Nous poursuivons la modernisation de la flotte, et apportons notre soutien à la recherche aéronautique pour une meilleure efficacité énergétique et la réduction des émissions de CO2.
Nous soutenons des ONG dans leurs programmes de protection de l’environnement.
Nous soutenons des programmes de recherche en énergies renouvelables, tels que les biocarburants destinés à l’aviation.
Nous mettons à la disposition de nos clients des informations transparentes et fiables sur les émissions de CO2 liées à leur voyage par un calculateur fondé sur les données réelles d’exploitation, et leur ouvrons la possibilité de compenser.
***Le sixième rapport annuel du développement durable est sorti
Pour la sixième année consécutive, le groupe Air France - KLM publie aujourd'hui son rapport annuel développement durable dans lequel le Groupe présente sa stratégie et ses actions visant à :
- combattre le changement climatique,
- réduire ses impacts environnementaux,
- construire une relation durable avec ses clients,
- promouvoir une politique de ressources humaines responsable,
- contribuer au développement local.
Bien à vous,
Morgane BRAVO
samedi 10 juillet 2010
vendredi 9 juillet 2010
*Urban Farming Tour 2010 "City of Angels »...*
Urban Farming preps and plants 4 new veggie gardens in Los Angeles as part of the Home Farming movement.
Urban Farming Tour 2010 "The Final Seed of Phoenix"
Bien à vous,
Morgane BRAVO
jeudi 8 juillet 2010
*Le climategate n’en était pas un...*
***C’était la dernière enquête qui collait aux basques de Phil Jones, le patron du Climate research unit de l’université britannique d’East Anglia. Accusé par certains de manipulation de données et d’entrave à la circulation des résultats scientifiques, après le vol et la publication de la correspondance email du CRU, Phil Jones est désormais totalement blanchi. Après six mois passés dans le placard qu’il s’était lui-même construit pour ne pas gêner les enquêtes en cours, Jones en ressort par la grande porte. Il a immédiatement été réintégré au sein du CRU, dont il sera désormais directeur de la recherche. La commission a néanmoins demandé quelques améliorations dans le fonctionnement du centre de recherches, notamment dans sa manière d’archiver les données.
Cette troisième enquête, de loin la plus approfondie, visait à étudier de près le contenu du millier de mails jetés à la vindicte populaire, et à déterminer si Jones s’est rendu coupable de faux, de réseaux d’influence et autres joyeusetés (1). La commission Muir avait aussi lancé un appel à contributions, auquel les détracteurs de Jones, climato-sceptiques pour la plupart, avaient répondu en nombre. Les enquêteurs ont aussi passé les papiers de Jones au crible, comparé ses jeux de données avec ceux disponibles dans les grands organismes (Nasa, etc.) pour déterminer s’il s’est livré à une quelconque manipulation.
De tout cela, Jones est blanc comme neige. «Il n’y a pas de fondement pour l’affirmation que le CRU a fait des ajustements de nature à influencer de manière significative les moyennes globales et ainsi à fabriquer des preuves d’un réchauffement récent», écrivent les enquêteurs à propos des reconstructions de température à partir des stations météorologiques terrestres. Idem pour les reconstructions de température passées, qui ont servi d’appui au dernier rapport du Giec. Jones est aussi lavé des accusations d’avoir perverti ou détourné le système de relecture par les pairs, pour parvenir à ses fins. «Il n’y a pas de preuve directe et évidente que les chercheurs du CRU ont abusé de leur position au Giec pour empêcher la publications d’idées contradictoires [dans le rapport du Giec de 2007].» Seul un graphique publié dans un rapport de l’Organisation météorologique mondiale est mis en cause. Non pas parce qu’il est faux, mais que sa légende est incomplète, et de nature à induire le lecteur en erreur.
Il y a bien évidemment un mais dans tout cela. Il faut bien que les négateurs de réchauffement obtiennent une miette. Car c’est d’une miette qu’il s’agit. La commission Muir reconnaît que les chercheurs du CRU n’ont pas été très motivés pour communiquer leurs données brutes et leurs codes de calcul à leurs détracteurs. Qui le serait d’ailleurs, d’autant que de nombreuses données utilisées par le CRU sont généralement vendues par les organismes météorologiques? Le rapport Muir estime que la campagne bien orchestrée de demandes de communication de données à l’été 2009 s’explique en partie par le fait que le CRU avait traîné les pieds. C’est en partie pour cela que Jones ne retrouvera pas sa position de directeur du centre de recherches: une volonté de séparer les tâches administratives de celles du chercheur. De la sorte, quand un allumé du bocal voudra les données de l’équipe de Jones, ce dernier ne sera pas en première ligne: c’est un responsable administratif qui se coltinera la paperasse.
Reste une question désormais. Quid de la quatrième enquête? Car il y a eu effraction dans les ordinateurs du CRU, et violation de correspondance privée. Et cette enquête-là avance moins vite que les péripéties de notre ministre Worth et de sa bienfaitrice Béttencourt. De ce point de vue là, l’affaire était rondement menée: un casse au CRU, un millier de mails jetés sur la place publique, la réputation de Jones salie et l’homme blessé… L’université d’East Anglia ira-t-elle poursuivre en diffamation les principaux acteurs de cette chasse à l’homme? Salissez, salissez, il en restera toujours quelque chose. Comme je l’ai écrit dès le 2 décembre dernier, «le climategate a fait long feu», un «pschiiiiit chiraquien». Certains confrères s’étaient élevés pour demander la démission de Jones, comme le chroniqueur George Monbiot du Guardian. Aujourd’hui, il fait amende honorable, même si c’est du bout des lèvres.
Tout cela confirme s’il en était besoin que la théorie du grand complot au sein du Giec avancée par notre mammouth du déni climatique n’était qu’un château de cartes. Ce n’est pas la climatologie qui est une imposture, c’est le climategate et tout ceux qui se sont appuyés sur ce braquage pour salir la réputation d’un honnête chercheur et de l’ensemble des climatologues!
(1) Michael Mann, le principal correspondant de Jones dans les fameux emails, a de son côté fait l’objet d’une commission d’enquête à l’Université de Pennsylvanie, qui l’a blanchi.
http://effetsdeterre.fr/2010/07/08/le-climategate-nen-etait-pas-un
Denis Delbecq
Effets de Terre
Bien à vous,
Morgane BRAVO
Cette troisième enquête, de loin la plus approfondie, visait à étudier de près le contenu du millier de mails jetés à la vindicte populaire, et à déterminer si Jones s’est rendu coupable de faux, de réseaux d’influence et autres joyeusetés (1). La commission Muir avait aussi lancé un appel à contributions, auquel les détracteurs de Jones, climato-sceptiques pour la plupart, avaient répondu en nombre. Les enquêteurs ont aussi passé les papiers de Jones au crible, comparé ses jeux de données avec ceux disponibles dans les grands organismes (Nasa, etc.) pour déterminer s’il s’est livré à une quelconque manipulation.
De tout cela, Jones est blanc comme neige. «Il n’y a pas de fondement pour l’affirmation que le CRU a fait des ajustements de nature à influencer de manière significative les moyennes globales et ainsi à fabriquer des preuves d’un réchauffement récent», écrivent les enquêteurs à propos des reconstructions de température à partir des stations météorologiques terrestres. Idem pour les reconstructions de température passées, qui ont servi d’appui au dernier rapport du Giec. Jones est aussi lavé des accusations d’avoir perverti ou détourné le système de relecture par les pairs, pour parvenir à ses fins. «Il n’y a pas de preuve directe et évidente que les chercheurs du CRU ont abusé de leur position au Giec pour empêcher la publications d’idées contradictoires [dans le rapport du Giec de 2007].» Seul un graphique publié dans un rapport de l’Organisation météorologique mondiale est mis en cause. Non pas parce qu’il est faux, mais que sa légende est incomplète, et de nature à induire le lecteur en erreur.
Il y a bien évidemment un mais dans tout cela. Il faut bien que les négateurs de réchauffement obtiennent une miette. Car c’est d’une miette qu’il s’agit. La commission Muir reconnaît que les chercheurs du CRU n’ont pas été très motivés pour communiquer leurs données brutes et leurs codes de calcul à leurs détracteurs. Qui le serait d’ailleurs, d’autant que de nombreuses données utilisées par le CRU sont généralement vendues par les organismes météorologiques? Le rapport Muir estime que la campagne bien orchestrée de demandes de communication de données à l’été 2009 s’explique en partie par le fait que le CRU avait traîné les pieds. C’est en partie pour cela que Jones ne retrouvera pas sa position de directeur du centre de recherches: une volonté de séparer les tâches administratives de celles du chercheur. De la sorte, quand un allumé du bocal voudra les données de l’équipe de Jones, ce dernier ne sera pas en première ligne: c’est un responsable administratif qui se coltinera la paperasse.
Reste une question désormais. Quid de la quatrième enquête? Car il y a eu effraction dans les ordinateurs du CRU, et violation de correspondance privée. Et cette enquête-là avance moins vite que les péripéties de notre ministre Worth et de sa bienfaitrice Béttencourt. De ce point de vue là, l’affaire était rondement menée: un casse au CRU, un millier de mails jetés sur la place publique, la réputation de Jones salie et l’homme blessé… L’université d’East Anglia ira-t-elle poursuivre en diffamation les principaux acteurs de cette chasse à l’homme? Salissez, salissez, il en restera toujours quelque chose. Comme je l’ai écrit dès le 2 décembre dernier, «le climategate a fait long feu», un «pschiiiiit chiraquien». Certains confrères s’étaient élevés pour demander la démission de Jones, comme le chroniqueur George Monbiot du Guardian. Aujourd’hui, il fait amende honorable, même si c’est du bout des lèvres.
Tout cela confirme s’il en était besoin que la théorie du grand complot au sein du Giec avancée par notre mammouth du déni climatique n’était qu’un château de cartes. Ce n’est pas la climatologie qui est une imposture, c’est le climategate et tout ceux qui se sont appuyés sur ce braquage pour salir la réputation d’un honnête chercheur et de l’ensemble des climatologues!
(1) Michael Mann, le principal correspondant de Jones dans les fameux emails, a de son côté fait l’objet d’une commission d’enquête à l’Université de Pennsylvanie, qui l’a blanchi.
http://effetsdeterre.fr/2010/07/08/le-climategate-nen-etait-pas-un
Denis Delbecq
Effets de Terre
Bien à vous,
Morgane BRAVO
mercredi 7 juillet 2010
*MERCI, THANKS, GRACIAS : MES CHERS VISITEURS...*
dimanche 4 juillet 2010
*Trop de panneaux photovoltaïques : pourraient engendrer une surchauffe du réseau*
***Énergie solaire : trop de panneaux photovoltaïques pourraient engendrer une surchauffe du réseau;
L'engouement pour l'énergie solaire et les panneaux photovoltaïques pourrait engendrer d'importantes surtensions menant à des coupures d'électricité au niveau local, a averti la présidente d'ErDF, Michelle Bellon.
L'intérêt croissant des Français pour l'énergie solaire, motivé en grande partie par les très avantageux tarifs de rachat de l'électricité, conduit à une multiplication très rapide du nombre de panneaux photovoltaïques. Une prolifération qui, selon la filiale d'EDF ErDF (Électricité réseau distribution France), pourrait engendrer une surchauffe du réseau électrique français et conduire à un "black out complet par surtension".
Fin 2009, près de 45.000 panneaux photovoltaïques étaient raccordés au réseau électrique d'ErDF en France. "Nous nous attendons cette année à plus de 75.000 raccordements nouveaux, 120.000 l'année prochaine, 150.000 en 2012" a indiqué Michelle Bellon, la présidente du directoire d’ErDF. Et de s'interroger : "Comment va-t-on gérer toute cette production non prévisible, aléatoire ? Ça va être extrêmement complexe".
Dans certains départements comme les Landes, l’énergie produite est 5 fois supérieure à la consommation de pointe. Fin 2013, 50.000 producteurs décentralisés devaient être raccordés sur le réseau. "Je suis assez inquiète car ça va très très vite. D'ici deux ou trois ans, on va être confronté à de vrais problèmes d'équilibre offre-demande de la boucle locale" a averti Michelle Bellon.
Pour l'installateur Evasol, citant l'étude européenne Intégration de sources d’énergies décentralisées dans le système électrique d’aujourd’hui publiée il y a plus d'un an, "le réseau français actuel peut accueillir sans aucun problème jusqu’à 10% d’électricité produite de façon décentralisée. Or actuellement en France, la production décentralisée par énergie solaire est très loin d’atteindre le seuil de 1%. Le risque est donc inexistant aujourd’hui. En revanche, il faudra bien entendu anticiper le développement de l’électricité solaire en modernisant le système de gestion du réseau ».
Maxisciences
Bien à vous,
Morgane BRAVO
L'engouement pour l'énergie solaire et les panneaux photovoltaïques pourrait engendrer d'importantes surtensions menant à des coupures d'électricité au niveau local, a averti la présidente d'ErDF, Michelle Bellon.
L'intérêt croissant des Français pour l'énergie solaire, motivé en grande partie par les très avantageux tarifs de rachat de l'électricité, conduit à une multiplication très rapide du nombre de panneaux photovoltaïques. Une prolifération qui, selon la filiale d'EDF ErDF (Électricité réseau distribution France), pourrait engendrer une surchauffe du réseau électrique français et conduire à un "black out complet par surtension".
Fin 2009, près de 45.000 panneaux photovoltaïques étaient raccordés au réseau électrique d'ErDF en France. "Nous nous attendons cette année à plus de 75.000 raccordements nouveaux, 120.000 l'année prochaine, 150.000 en 2012" a indiqué Michelle Bellon, la présidente du directoire d’ErDF. Et de s'interroger : "Comment va-t-on gérer toute cette production non prévisible, aléatoire ? Ça va être extrêmement complexe".
Dans certains départements comme les Landes, l’énergie produite est 5 fois supérieure à la consommation de pointe. Fin 2013, 50.000 producteurs décentralisés devaient être raccordés sur le réseau. "Je suis assez inquiète car ça va très très vite. D'ici deux ou trois ans, on va être confronté à de vrais problèmes d'équilibre offre-demande de la boucle locale" a averti Michelle Bellon.
Pour l'installateur Evasol, citant l'étude européenne Intégration de sources d’énergies décentralisées dans le système électrique d’aujourd’hui publiée il y a plus d'un an, "le réseau français actuel peut accueillir sans aucun problème jusqu’à 10% d’électricité produite de façon décentralisée. Or actuellement en France, la production décentralisée par énergie solaire est très loin d’atteindre le seuil de 1%. Le risque est donc inexistant aujourd’hui. En revanche, il faudra bien entendu anticiper le développement de l’électricité solaire en modernisant le système de gestion du réseau ».
Maxisciences
Bien à vous,
Morgane BRAVO
samedi 3 juillet 2010
*President Obama : Weekly Address: A Solar Recovery...*
whitehouse
2 juillet 2010
As part of the explosion of Recovery Act projects this summer and as a move towards a clean energy future, the President announces nearly $2 billion in conditional commitments to key solar companies.
Bien à vous,
Morgane BRAVO
vendredi 2 juillet 2010
*La protection de la nature en Europe...*
1/07/2010
La dernière émission de la saison est consacrée à la protection de la nature en Europe et plus particulièrement à la préservation des tortues grecques. Retour aussi sur les remous de la présidence belge de l'Union européenne, le jour où le plat pays prend les commandes de l'Europe
Bien à vous,
Morgane BRAVO
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