vendredi 22 avril 2011
mercredi 13 avril 2011
dimanche 3 avril 2011
*La semaine du développement durable : passez à l’action!*
Ce vendredi 1er avril marquera le lancement de la Semaine du développement durable. Initiée par le ministère de l’Ecologie en 2003, l’idée est de réfléchir ensemble à une évolution plus responsable de notre société. Expositions, cafés-rencontres, débats… participez à de nombreuses activités et informez-vous sur le thème de l’année 2011 : « Changeons nos comportements ».
Pour la neuvième année consécutive, la Semaine du développement durable se déroulera du 1er au 7 avril. Le thème de cette année fait appel à la participation de tous les citoyens sous l’intitulé : « Changeons nos comportements ». Le message est clair : adoptez de bonnes pratiques dans votre vie quotidienne.
Grand rassemblement autour du développement durable, entreprises, associations, services publics, collectivités et établissements scolaires sont invités à partager, faire participer et sensibiliser les citoyens aux enjeux de ce thème.
Ville, alimentation, biodiversité, loisirs…
Différentes problématiques seront abordées à cette occasion telle la consommation responsable : un spot TV sera diffusé toute la semaine pour promouvoir les écolabels. Des prix récompenseront les entreprises les plus exemplaires : éco-conception, protection de l’environnement, etc. La réduction des déchets, les transports responsables, l’habitat écologique… figureront également parmi les thèmes centraux de la semaine à venir.
Le programme des manifestations est consultable sur le site du gouvernement : www.semainedudeveloppementdurable.gouv.fr. Exposition-ateliers sur l’énergie, conférence-débat sur le système agricole, chasse aux trésors pour les enfants sur le thème de l’arbre, café-rencontres sur l’isolation des maisons… Des milliers d’événements pour enfants, adultes, amateurs ou professionnels s’organisent partout en France.
Les temps forts de la semaine
Quelques grands événements accompagneront cette manifestation nationale : le salon Planète durable se tiendra du 31 mars ou 3 avril à Paris-Porte de Versailles. C’est le rendez-vous incontournable de la consommation durable, véritable vitrine de toutes les innovations des produits de la vie quotidienne des Français.
Les Premières Assises de la Qualité de l’Air se tiendront également les 6 et 7 avril à la Maison du sport français-Paris 13ème. S’adressant à tous les acteurs de ce domaine, ce débat s’orientera sur des échanges d’expériences et de bonnes pratiques en matière de gestion de la qualité de l’air extérieur.
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*51% des Français ont adopté une consommation "plus responsable". ...*
L'enquête réalisée par le cabinet conseil Ethicity et publiée aujourd'hui montre que 51% des Français ont adopté une consommation "plus responsable".
Alors que va s'ouvrir demain la Semaine du développement durable, le cabinet conseil Ethicity livre les résultats de son enquête annuelle concernant la consommation des Français. Si en 2010, 46% des consommateurs indiquaient faire preuve d'une attitude plus responsable au moment d'acheter, ils sont 51% aujourd'hui à être plus attentifs, rapporte Sciences et Avenir.
Concrètement 54% des consommateurs achètent moins et 33% consomment "mieux". Ils évitent d'acheter des produits considérés comme superflus. Par ailleurs, 32% des acheteurs évitent les produits suremballés et 30% boycottent les entreprises qui n'adoptent pas de comportement responsable. De plus, les consommateurs français indiquent acheter davantage français ou local (pour 29% d'entre eux cela vise à favoriser l'emploi au niveau local).
Pourtant, ce n'est pas pour préserver la planète que les gens consomment différemment. C'est dans un souci de bien-être personnel que 61% des Français font davantage attention, révèle le sondage. La présidente du cabinet Ethicity, Elizabeth Pastore-Reiss, a indiqué à la presse que "la préoccupation pour la santé est un moyen qui rallie tout le monde surtout si on y ajoute du bien-être, du partage, du plaisir et du goût".
Un nouvel étiquetage va être testé sur 168 produits à partir de juillet. Il devrait contenter les 25% de Français qui trouvent très important de connaître l'impact environnemental du produit qu'ils achètent. Toutefois, 62% des sondés estiment qu'il est difficile de repérer les produits de développement durable et 61% jugent les labels trop nombreux.
Enfin, dans l'ensemble, les gens préfèrent à 60% acheter des produits durables dans la mesure où ils ont fait leurs preuves en terme de qualité. Sur les 3.557 personnes interrogées, 54% ont estimé que la population jouait un rôle prépondérant pour agir en faveur du développement durable.
MaxisSciences
Bien à vous,
Morgane BRAVO
Alors que va s'ouvrir demain la Semaine du développement durable, le cabinet conseil Ethicity livre les résultats de son enquête annuelle concernant la consommation des Français. Si en 2010, 46% des consommateurs indiquaient faire preuve d'une attitude plus responsable au moment d'acheter, ils sont 51% aujourd'hui à être plus attentifs, rapporte Sciences et Avenir.
Concrètement 54% des consommateurs achètent moins et 33% consomment "mieux". Ils évitent d'acheter des produits considérés comme superflus. Par ailleurs, 32% des acheteurs évitent les produits suremballés et 30% boycottent les entreprises qui n'adoptent pas de comportement responsable. De plus, les consommateurs français indiquent acheter davantage français ou local (pour 29% d'entre eux cela vise à favoriser l'emploi au niveau local).
Pourtant, ce n'est pas pour préserver la planète que les gens consomment différemment. C'est dans un souci de bien-être personnel que 61% des Français font davantage attention, révèle le sondage. La présidente du cabinet Ethicity, Elizabeth Pastore-Reiss, a indiqué à la presse que "la préoccupation pour la santé est un moyen qui rallie tout le monde surtout si on y ajoute du bien-être, du partage, du plaisir et du goût".
Un nouvel étiquetage va être testé sur 168 produits à partir de juillet. Il devrait contenter les 25% de Français qui trouvent très important de connaître l'impact environnemental du produit qu'ils achètent. Toutefois, 62% des sondés estiment qu'il est difficile de repérer les produits de développement durable et 61% jugent les labels trop nombreux.
Enfin, dans l'ensemble, les gens préfèrent à 60% acheter des produits durables dans la mesure où ils ont fait leurs preuves en terme de qualité. Sur les 3.557 personnes interrogées, 54% ont estimé que la population jouait un rôle prépondérant pour agir en faveur du développement durable.
MaxisSciences
Bien à vous,
Morgane BRAVO
mardi 29 mars 2011
*L’Union européenne doit agir de façon concertée lors des négociations sur le climat*
L’Union européenne est favorable à l’adoption, pour la période après 2012, d’un accord contraignant pour toutes les parties en matière de protection du climat et souhaite jouer un rôle primordial dans son élaboration, ce dont on convenu les participants de la réunion informelle du Conseil « Environnement » qui s’est tenue à Gödöllő le 26 mars 2011. Les avis divergeaient néanmoins sur les modalités de sa réalisation.
Le Conseil « Environnement » a adopté, le 14 mars, des conclusions relatives aux négociations sur la protection du climat qui ont eu lieu en 2011, bien qu’il n’y ait pas eu, à cette occasion, de débat sur la stratégie à adopter. La réunion de Gödöllő a donné l’occasion d’un premier échange de vues en la matière. La question est d’autant plus actuelle que la période d’engagement fixée par le protocole de Kyoto arrivera à expiration le 31 décembre 2012. D’âpres négociations sont en cours depuis des années en vue de définir la marche à suivre mais aucun accord n’a pour l’heure été adopté.
Lors de l’échange de vues qui a lieu à Gödöllő, les vingt-sept Etats membres ont convenu de la nécessité d’un accord global et juridiquement contraignant pour tous les importants émetteurs de CO2. L’adoption d’un accord international d’ici fin 2012 est néanmoins peu probable. Par conséquent, même si un accord voit le jour pour la période d’après Kyoto, il y aura probablement une période transitoire de quelques années entre les la période d’engagement de Kyoto et la nouvelle période d’engagement. Des mesures juridiques spécifiques pourraient être nécessaires pour la période transitoire.
Les ministres ont convenu de la nécessité d’améliorer la communication avec les pays en développement (qui ne sont pas concernés par l’obligation de réduction d’émissions imposée par le protocole de Kyoto).
Certains ministres ont proposé des stratégies de négociation en ce qui concerne les nouveaux engagements éventuels de l’Union et les mesures que cette dernière devrait prendre si d’importants émetteurs de CO2 n’étaient pas disposés à prendre des engagements. Plusieurs ministres ont souligné combien il était important de définir clairement, lors de la réunion du Conseil « Environnement » prévue pour octobre 2011, la position de l’Union européenne pour le prochain cycle de négociations en Afrique du Sud.
A Gödöllő, les vingt-sept Etats membres ont unanimement souligné l’importance de la capacité de l’Union à agir de manière concertée lors de la conférence sur la protection du climat qui aura lieu à Durban fin 2011. C’est ce qu’a déclaré, lors de la conférence de presse consécutive à la réunion, Tamás Fellegi, ministre du développement national, qui présidait la réunion. Connie Hedegaard, commissaire européenne en charge de l’action pour le climat, a confié, lors de la conférence de presse, que la situation était déjà difficile sous Kyoto mais qu’elle serait encore plus difficile sans l’accord, raison pour laquelle l’engagement de Kyoto devait être maintenu étant donné que plusieurs années de négociations avaient été nécessaires pour que le protocole soit adopté.
Lors du déjeuner de travail, les ministres ont procédé à un échange de vues sur la feuille de route pour la décarbonisation adoptée par la Commission le 8 mars 2011, qui expose des méthodes peu coûteuses permettant à l’Union européenne de réduire ses émissions de CO2 de 80 à 95 % par rapport au niveau de 1990. Sur le long terme, la réduction prévue par la feuille de route est de 40 % d’ici à 2030 et de 60 % d’ici à 2040, toujours par rapport au niveau de 1990.
La veille, le Conseil « Environnement » avait débattu de la protection des réserves d’eau, constatant que l’Union européenne avait besoin d’une politique intégrée de l’eau.
28 mars 2011
Bien à vous,
Morgane BRAVO
Le Conseil « Environnement » a adopté, le 14 mars, des conclusions relatives aux négociations sur la protection du climat qui ont eu lieu en 2011, bien qu’il n’y ait pas eu, à cette occasion, de débat sur la stratégie à adopter. La réunion de Gödöllő a donné l’occasion d’un premier échange de vues en la matière. La question est d’autant plus actuelle que la période d’engagement fixée par le protocole de Kyoto arrivera à expiration le 31 décembre 2012. D’âpres négociations sont en cours depuis des années en vue de définir la marche à suivre mais aucun accord n’a pour l’heure été adopté.
Lors de l’échange de vues qui a lieu à Gödöllő, les vingt-sept Etats membres ont convenu de la nécessité d’un accord global et juridiquement contraignant pour tous les importants émetteurs de CO2. L’adoption d’un accord international d’ici fin 2012 est néanmoins peu probable. Par conséquent, même si un accord voit le jour pour la période d’après Kyoto, il y aura probablement une période transitoire de quelques années entre les la période d’engagement de Kyoto et la nouvelle période d’engagement. Des mesures juridiques spécifiques pourraient être nécessaires pour la période transitoire.
Les ministres ont convenu de la nécessité d’améliorer la communication avec les pays en développement (qui ne sont pas concernés par l’obligation de réduction d’émissions imposée par le protocole de Kyoto).
Certains ministres ont proposé des stratégies de négociation en ce qui concerne les nouveaux engagements éventuels de l’Union et les mesures que cette dernière devrait prendre si d’importants émetteurs de CO2 n’étaient pas disposés à prendre des engagements. Plusieurs ministres ont souligné combien il était important de définir clairement, lors de la réunion du Conseil « Environnement » prévue pour octobre 2011, la position de l’Union européenne pour le prochain cycle de négociations en Afrique du Sud.
A Gödöllő, les vingt-sept Etats membres ont unanimement souligné l’importance de la capacité de l’Union à agir de manière concertée lors de la conférence sur la protection du climat qui aura lieu à Durban fin 2011. C’est ce qu’a déclaré, lors de la conférence de presse consécutive à la réunion, Tamás Fellegi, ministre du développement national, qui présidait la réunion. Connie Hedegaard, commissaire européenne en charge de l’action pour le climat, a confié, lors de la conférence de presse, que la situation était déjà difficile sous Kyoto mais qu’elle serait encore plus difficile sans l’accord, raison pour laquelle l’engagement de Kyoto devait être maintenu étant donné que plusieurs années de négociations avaient été nécessaires pour que le protocole soit adopté.
Lors du déjeuner de travail, les ministres ont procédé à un échange de vues sur la feuille de route pour la décarbonisation adoptée par la Commission le 8 mars 2011, qui expose des méthodes peu coûteuses permettant à l’Union européenne de réduire ses émissions de CO2 de 80 à 95 % par rapport au niveau de 1990. Sur le long terme, la réduction prévue par la feuille de route est de 40 % d’ici à 2030 et de 60 % d’ici à 2040, toujours par rapport au niveau de 1990.
La veille, le Conseil « Environnement » avait débattu de la protection des réserves d’eau, constatant que l’Union européenne avait besoin d’une politique intégrée de l’eau.
28 mars 2011
Bien à vous,
Morgane BRAVO
dimanche 27 mars 2011
*Le nucléaire et l'immigration clandestine à Lampedusa...*
Après la catastrophe nucléaire au japon, la situation est toujours critique à la centrale de Fukushima. En Europe, alors que le nuage radioactif survole le continent le débat sur le nucléaire est relancé,. Les pays européens doivent-ils suspendre leurs programmes nucléaires ? La sécurité des sites doit-elle être repensée ? L'Europe peut-elle prendre des mesures ?
Bien à vous,
Morgane BRAVO
dimanche 20 mars 2011
*Un crâne humain âgé de 10.000 ans découvert dans les fonds marins du Mexique
La découverte vient d'être officialisée mais date de 2007. Des plongeurs ont découvert cette année là dans une caverne sous-marine de la péninsule du Yucatan au Mexique un crâne humain reposant à côté d'ossements de mastodonte et d'autres animaux historiques. D'après leurs hypothèses, celui-ci aurait été déposé là il y a plus de 10.000 ans alors que la grotte n'avait pas encore été inondée par la mer. Il pourrait ainsi appartenir à un des tout premiers hommes débarqués sur le continent américain, les Paléoindiens.
15 mars 2011
Bien à vous,
Morgane BRAVO
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