**Le réseau ASTRONET vient de rendre publique un plan global à 20 ans visant à coordonner les investissements nationaux et communautaires dans les infrastructures scientifiques pour pérenniser le rôle leader de l'astronomie européenne.
Dans le paysage de l'astronomie mondiale, l'Europe joue un rôle de leader grâce à une coopération toujours plus efficace de sa communauté scientifique depuis 50 ans. Pour se maintenir au même niveau dans les prochaines décennies, elle doit se fixer des priorités et coordonner encore plus étroitement ses investissements financiers et humains. Cette tâche est revenue au réseau ASTRONET, soutenu par la Commission Européenne coordonné par l'INSU - CNRS, et qui rassemble toute la communauté astronomique européenne. Aujourd'hui, ASTRONET présente sa Feuille de route des infrastructures, pour assurer un avenir brillant à l'astronomie européenne de demain.
L'Europe joue aujourd'hui un rôle de leader en astronomie, avec l'observatoire optique le plus puissant au monde et des infrastructures de pointe dans de nombreux domaines, de la radioastronomie au sol jusq'aux sondes spatiales. Dans ce contexte, les astronomes européens se sont réunis pour identifier les défis scientifiques de demain et les moyens en équipement pour y répondre en optimisant leurs coûts, démontrant ainsi la réalité de cette coopération européenne.
En 2007, ces astronomes avaient examiné les questions scientifiques, les plus brûlantes du prochain quart de siècle, allant de l'énergie noire à la vie sur les autres planètes, et avaient ainsi élaboré une Vision scientifique à long terme. Ils présentent aujourd'hui leur Feuille de route des infrastructures européennes, un plan global à 20 ans pour coordonner les investissements nationaux et communautaires. La feuille de route hiérarchise les nouveaux grands équipements nécessaires à la recherche en astrophysique, au sol comme dans l'espace. Elle prend également en considération les infrastructures existantes, les ressources humaines, l'infrastructure TIC (technologies de l'information et de la communication), la vulgarisation et la diffusion des connaissances auprès du grand public. Elle contient les coûts estimés de construction et de fonctionnement.
Cette feuille de route a été élaborée sous l'égide du programme ASTRONET, créé par les grandes agences de financement européennes, bénéficiant du soutien de la commission européenne et coordonné par l'Institut national des sciences de l'Univers (INSU) du CNRS. Pour établir un consensus sur les priorités à donner au sein d'une communauté très diverse, la vision scientifique et la feuille de route ont été conçues grâce à une interaction de toute la communauté, à travers de grands colloques et débats sur Internet. Résultat : la feuille de route est soutenue par les astronomes des 28 états membres et associés de l'Union européenne, dont la population dépasse les 500 millions d'habitants.
Plus de 60 experts, sélectionnés partout en Europe, ont contribué à la construction de la feuille de route d'ASTRONET, garantissant ainsi que l'astronomie européenne aura les outils nécessaires pour relever avec succès les défis de la vision scientifique. Ils ont identifié et hiérarchisé les nouvelles infrastructures nécessaires pour observer l'Univers, dans le domaine des longueurs d'onde allant de la radio jusqu'aux rayons gamma, en utilisant de nouveaux moyens d'étude du cosmos comme les ondes gravitationnelles, ou en allant plus loin dans l'exploration de notre système solaire. Au cours de cette procédure, ils ont pris en compte tous les éléments susceptibles de rendre leur entreprise scientifique fructueuse, tels que la coopération à l'échelle mondiale concernant les mégaprojets les plus importants ou encore les besoin de formation et de recrutement de jeunes scientifiques et ingénieurs qualifiés.
Les projets les plus importants pour ASTRONET sont :
Parmi les projets à grande échelle au sol :
- le European Extremly Large Telescope, de loin le plus grand télescope optique, doté d'un miroir segmenté pour étudier le ciel en lumière visible et infrarouge ;
- le Square Kilometre Array, un grand radiotélescope qui sera déployé à l'échelle d'un continent. Le SKA serait porté par un consortium mondial.
Parmi les instruments de premier plan, mais nécessitant un investissement moindre :
- un télescope solaire européen de 4 mètres, qui sera basé dans les Iles Canaries ;
- un réseau de télescopes optiques dédié aux rayons gamma émis par les trous noirs ou par d'autres sources très énergétiques ;
- un télescope sous merpour détecter les neutrinos - des particules sub-atomiques qui peuvent traverser la Terre de part en part et qui fournissent des informations sur certains des phénomènes les plus violents de l'Univers.
Parmi les missions spatiales les plus importantes pour la prochaine décennie, les priorités d'ASTRONET sont :
- une mission pour étudier les ondes gravitationnelles issues du Big bang et des trous noirs ;
- une mission pour étudier, en rayons X, les galaxies, les amas de galaxies et les étoiles, plus finement que cela n'a jamais été fait auparavant ;
- deux missions pour étudier les planètes Jupiter, Saturne et leurs satellites.
Des projets spatiaux tout aussi importants, mais moins coûteux :
- une mission pour percer les secrets de la matière sombre et de l'énergie noire ;
- une mission pour comprendre notre étoile, le Soleil, plus en détail que cela n'a jamais été réalisé auparavant.
Parmi les autres recommandations, les astronomes d'ASTRONET ont réfléchi à la façon d'utiliser au mieux les infrastructures existantes, tant du point de vue scientifique que des coûts. Ils ont également souligné la nécessité d'améliorer l'accès aux équipements informatiques et aux équipements de pointe de certains laboratoires. L'industrie de haute technologie européenne devrait être davantage impliquée dans la conception des futures infrastructures. En outre, la réussite dépend de l'existence et de la disponibilité des scientifiques et ingénieurs qualifiés, dans les nombreux domaines concernés allant de l'informatique à l'optique. Enfin, la feuille de route propose une série de mesures de vulgarisation, visant à susciter des vocations scientifiques et technologie.
L'Europe dépense aujourd'hui 2 milliards d'euros environ, par an, pour l'astronomie au sens large. La mise en oeuvre de la feuille de route d'ASTRONET nécessitera une augmentation des financements d'environ 6 pour cent - largement moins d'un euro par an par citoyen européen. Une coopération mondiale, en cours de planification, sera nécessaire pour les projets les plus importants.
*Plan stratégique ASTRONET [.pdf, 4.56 Mo]
http://www.insu.cnrs.fr/f1574pdf,plan-strategique-astronet.pdf
*Feuille de route infrastructure ASTRONET [.pdf, 38.89 Mo]
http://www.insu.cnrs.fr/f1573pdf,feuille-route-infrastructure-astronet.pdf
dimanche 30 novembre 2008
***Le Développement Durable en Europe...***
***Sur cette carte (http://www.touteleurope.fr/fr/actions/energie-environnement/l-europe-et-l-environnement/presentation/comparatif-le-developpement-durable-en-europe.html), on mesure le déficit et la réserve écologique de chaque pays de l'Union européenne par la différence entre, d'une part, la biocapacité de ce pays (la superficie totale de terres et de mers écologiquement productives, en hectares globaux par personne) et, d'autre part, son empreinte écologique (la surface dont la population a besoin pour produire toutes les ressources qu'il consomme et résorber les déchets qu'il génère, en hectares globaux par personne).
Ainsi, le pays connaît un déficit écologique lorsque l'empreinte de sa population excède la biocapacité de sa surface disponible pour cette population. A l'inverse, une réserve écologique existe lorsque la biocapacité d'un pays est plus importante que l'empreinte de sa population.
Ainsi, selon le rapport 2008 du Global Footprint Network, la majorité des pays de l'Union européenne (données non communiquées pour Chypre, Malte et le Luxembourg) est marquée par un déficit écologique. Seuls les pays du Nord-Est de l'Europe (Suède, Finlande, Estonie, Lettonie, Lituanie) et la Bulgarie disposent d'une réserve écologique. La Finlande obtient les meilleurs résultats, avec une biocapacité qui excède son empreinte écologique de 6,48 hectares globaux par personne (gha/pers.)
Au sein des pays connaissant un déficit écologique, nous avons différencié ceux dont le déficit est supérieur à 3 gha/pers. (De l'Espagne, avec un déficit de 4,40gha/pers., au Portugal dont le déficit est de 3,20 gha/pers., en passant par la Belgique, la Grèce, l'Italie et le Royaume-Uni) et ceux pour lesquels ce déficit est compris entre 0 et 3 gha/pers. : des Pays-Bas (2,93) à la Slovaquie (0,47).
En moyenne, les Etats de l'Union européenne souffrent d'un déficit écologique de 2,38 gha/pers. En comparaison, le déficit écologique de l'Amérique du Nord est de 2,71, celui de l'Asie-Pacifique est de 0,8, celui de l'Asie centrale et du Moyen-Orient, 1,04. L'Amérique latine et les Caraïbes, l'Europe (non UE) et l'Afrique sont des réserves écologiques.
Toute l'Europe
Ainsi, le pays connaît un déficit écologique lorsque l'empreinte de sa population excède la biocapacité de sa surface disponible pour cette population. A l'inverse, une réserve écologique existe lorsque la biocapacité d'un pays est plus importante que l'empreinte de sa population.
Ainsi, selon le rapport 2008 du Global Footprint Network, la majorité des pays de l'Union européenne (données non communiquées pour Chypre, Malte et le Luxembourg) est marquée par un déficit écologique. Seuls les pays du Nord-Est de l'Europe (Suède, Finlande, Estonie, Lettonie, Lituanie) et la Bulgarie disposent d'une réserve écologique. La Finlande obtient les meilleurs résultats, avec une biocapacité qui excède son empreinte écologique de 6,48 hectares globaux par personne (gha/pers.)
Au sein des pays connaissant un déficit écologique, nous avons différencié ceux dont le déficit est supérieur à 3 gha/pers. (De l'Espagne, avec un déficit de 4,40gha/pers., au Portugal dont le déficit est de 3,20 gha/pers., en passant par la Belgique, la Grèce, l'Italie et le Royaume-Uni) et ceux pour lesquels ce déficit est compris entre 0 et 3 gha/pers. : des Pays-Bas (2,93) à la Slovaquie (0,47).
En moyenne, les Etats de l'Union européenne souffrent d'un déficit écologique de 2,38 gha/pers. En comparaison, le déficit écologique de l'Amérique du Nord est de 2,71, celui de l'Asie-Pacifique est de 0,8, celui de l'Asie centrale et du Moyen-Orient, 1,04. L'Amérique latine et les Caraïbes, l'Europe (non UE) et l'Afrique sont des réserves écologiques.
Toute l'Europe
***L'Europe et l'environnement***
***Dans un entretien, Fabrizio Barbaso, directeur général adjoint de la DG Energie et transports, revient sur les propositions du paquet Energie-climat présentées par la Commission européenne le 23 janvier 2008.
***Le Forum des Villes : une ville durable et solidaire au quotidien...***
***Après Leipzig, le Forum des Villes de Montpellier se veut une étape décisive pour le développement urbain durable.
La présidence française du Conseil de l'Union européenne a choisi de mettre l'accent sur " la ville durable et solidaire ". Suite à la réunion des ministres en charge de la cohésion, du développement urbain et du logement, elle organise à Montpellier, les 2 et 3 décembre 2008, un Forum des Villes où plusieurs centaines d'acteurs européens des politiques urbaines (élus, experts, représentants associatifs et socio-professionnels) viendront débattre de la mise en œuvre opérationnelle de la Charte de Leipzig*.
Dix ateliers seront proposés : une première série centrée sur le thème de la " ville accessible à tous " avec la question de la gouvernance et celle de la participation des habitants en fil conducteur ; une seconde session sur la présentation d'outils et de pratiques innovantes au service d'une approche intégrée du développement urbain.
En s'appuyant notamment sur les expériences et les réflexions en cours sur l'adaptation au changement climatique et l'atténuation de ses effets, le Forum des villes doit amorcer une dynamique de construction en commun de références et d'outils pour l'action au service de la ville européenne durable.
Le Forum des Villes sera précédé de la conférence annuelle du programme européen URBACT (30 novembre et 1er décembre, également au Corum de Montpellier).
**Par la Charte de Leipzig, les Etats membres de l'Union européenne ont confirmé, en mai 2007, l'importance de l'approche intégrée pour la réussite de la ville durable et souhaité donner au développement urbain une place plus importante dans les politiques de l'Union.
***Projet de loi de finances pour 2009...***
***Projet de loi de finances pour 2009 : Ecologie, développement et aménagement durables : Budget annexe, contrôle et exploitation aériens. Compte spécial : contrôle et sanctions automatisés des infractions au code de la route.
*Avis n° 101 (2008-2009) de MM. Jean BIZET, Charles REVET, Jean-François LE GRAND et Roland COURTEAU, fait au nom de la commission des affaires économiques, déposé le 20 novembre 2008
*Lien ci-dessous :
http://www.senat.fr/rap/a08-101-3/a08-101-3.html
*Avis n° 101 (2008-2009) de MM. Jean BIZET, Charles REVET, Jean-François LE GRAND et Roland COURTEAU, fait au nom de la commission des affaires économiques, déposé le 20 novembre 2008
*Lien ci-dessous :
http://www.senat.fr/rap/a08-101-3/a08-101-3.html
jeudi 27 novembre 2008
*L'UE JOUE LA CITE DURABLE CONTRE L'UTOPIE DE LA "VILLE NOUVELLE"
***Anterrée, l'utopie de villes nouvelles idéales créées ex-nihilo, portée ces dernières années par Dominique Strauss-Kahn ou Nicolas Sarkozy ! Le ministère français de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de l'aménagement du territoire (Meedat) met actuellement en place une "démarche écocités" pour accompagner l'émergence de villes écologiques modèles : "des villes existantes qui planifient une croissance urbaine de l'ordre de 50 000 habitants sur une génération, dans le prolongement du bâti existant ou sur des friches urbaines requalifiées, exemplaires en termes de développement durable et de transports collectifs".
De son côté, l'Europe veut se doter d'un "cadre de référence pour la mise en oeuvre de la Charte de Leipzig sur la ville européenne durable (adoptée en 2007), la politique de développement urbain durable et solidaire et la prise en compte du changement climatique dans les villes". Une déclaration en ce sens a été adoptée, mardi 25 novembre, à l'issue d'une réunion informelle des ministres européens du développement urbain et de l'aménagement du territoire, à Marseille, dans le cadre de la présidence française de l'Union européenne.
La France se montre d'autant plus déterminée sur ces sujets qu'elle ne les a abordés que récemment et affiche en la matière un sérieux retard. Qui veut parler quartiers "durables" en Europe citera Vauban à Fribourg, BedZed en Angleterre, BO01 à Malmö ou Hammarby Sjöstad à Stockholm. Jamais l'Hexagone. But de la déclaration marseillaise : "Construire collectivement des outils de mise en oeuvre opérationnelle et les mettre à disposition des villes, de la communauté scientifique et technique, du secteur privé, des organisations non gouvernementales représentant les habitants et les usagers."
Ce travail d'étude et de diffusion, le Réseau européen pour un développement urbain durable le mène de son côté depuis 2004. Pour sa présidente, Catherine Charlot-Valdieu, "il y a un vrai besoin d'information des acteurs de la ville. Les enseignements des programmes urbains financés par l'Europe restent souvent dans les placards. Malheureusement, l'Europe finance des réalisations modèles, porteuses d'image pour les élus, mais ne cherche pas à définir les bonnes politiques urbaines."
"Il ne s'agit pas d'élaborer des normes. Nous souhaitons créer un instrument souple, proposer aux acteurs locaux des esquisses de réponses, des exemples mis en oeuvre dans nos Etats membres, des indicateurs leur permettant de situer leur démarche", précise Hubert Falco. Le secrétaire d'Etat à l'aménagement du territoire a proposé que la France prenne la tête du groupe de travail européen. Il a également invité ses homologues des Vingt-Sept à adhérer à une "plate-forme de compétences, de formation et d'échange d'expériences entre les acteurs du développement urbain" que crée l'Union pour la Méditerranée.
"ECOQUARTIERS" EN GESTATION
La déclaration de Marseille fait écho aux récentes initiatives du Meedat. Jean-Louis Borloo a présenté en conseil des ministres, le 22 octobre, un "plan pour les villes durables" qui vise "à favoriser l'émergence d'une nouvelle façon de concevoir, construire, faire évoluer et gérer la ville", qu'il s'agisse d'écoquartiers ou, à plus grande échelle, d'"écocités".
Le Grenelle de l'environnement prévoit la construction d'un écoquartier dans tout programme de "développement significatif de l'habitat". Une vingtaine de ces écoquartiers sont en gestation, de Paris à Grenoble, de Douai à Angers. Mais aucune définition ne les réglemente et le Meedat s'avoue incapable de les dénombrer avec précision.
"Il y a un foisonnement de projets regroupant des réalités très variées, observe-t-on au cabinet d'Hubert Falco. L'appellation "écoquartier" s'apparente parfois à un label de communication. Nous essayons de structurer toutes ces initiatives, de diffuser les connaissances et les bonnes pratiques en créant un club de volontaires via le "concours écoquartiers"."
Grégoire Allix
LE MONDE
27.11.08.
De son côté, l'Europe veut se doter d'un "cadre de référence pour la mise en oeuvre de la Charte de Leipzig sur la ville européenne durable (adoptée en 2007), la politique de développement urbain durable et solidaire et la prise en compte du changement climatique dans les villes". Une déclaration en ce sens a été adoptée, mardi 25 novembre, à l'issue d'une réunion informelle des ministres européens du développement urbain et de l'aménagement du territoire, à Marseille, dans le cadre de la présidence française de l'Union européenne.
La France se montre d'autant plus déterminée sur ces sujets qu'elle ne les a abordés que récemment et affiche en la matière un sérieux retard. Qui veut parler quartiers "durables" en Europe citera Vauban à Fribourg, BedZed en Angleterre, BO01 à Malmö ou Hammarby Sjöstad à Stockholm. Jamais l'Hexagone. But de la déclaration marseillaise : "Construire collectivement des outils de mise en oeuvre opérationnelle et les mettre à disposition des villes, de la communauté scientifique et technique, du secteur privé, des organisations non gouvernementales représentant les habitants et les usagers."
Ce travail d'étude et de diffusion, le Réseau européen pour un développement urbain durable le mène de son côté depuis 2004. Pour sa présidente, Catherine Charlot-Valdieu, "il y a un vrai besoin d'information des acteurs de la ville. Les enseignements des programmes urbains financés par l'Europe restent souvent dans les placards. Malheureusement, l'Europe finance des réalisations modèles, porteuses d'image pour les élus, mais ne cherche pas à définir les bonnes politiques urbaines."
"Il ne s'agit pas d'élaborer des normes. Nous souhaitons créer un instrument souple, proposer aux acteurs locaux des esquisses de réponses, des exemples mis en oeuvre dans nos Etats membres, des indicateurs leur permettant de situer leur démarche", précise Hubert Falco. Le secrétaire d'Etat à l'aménagement du territoire a proposé que la France prenne la tête du groupe de travail européen. Il a également invité ses homologues des Vingt-Sept à adhérer à une "plate-forme de compétences, de formation et d'échange d'expériences entre les acteurs du développement urbain" que crée l'Union pour la Méditerranée.
"ECOQUARTIERS" EN GESTATION
La déclaration de Marseille fait écho aux récentes initiatives du Meedat. Jean-Louis Borloo a présenté en conseil des ministres, le 22 octobre, un "plan pour les villes durables" qui vise "à favoriser l'émergence d'une nouvelle façon de concevoir, construire, faire évoluer et gérer la ville", qu'il s'agisse d'écoquartiers ou, à plus grande échelle, d'"écocités".
Le Grenelle de l'environnement prévoit la construction d'un écoquartier dans tout programme de "développement significatif de l'habitat". Une vingtaine de ces écoquartiers sont en gestation, de Paris à Grenoble, de Douai à Angers. Mais aucune définition ne les réglemente et le Meedat s'avoue incapable de les dénombrer avec précision.
"Il y a un foisonnement de projets regroupant des réalités très variées, observe-t-on au cabinet d'Hubert Falco. L'appellation "écoquartier" s'apparente parfois à un label de communication. Nous essayons de structurer toutes ces initiatives, de diffuser les connaissances et les bonnes pratiques en créant un club de volontaires via le "concours écoquartiers"."
Grégoire Allix
LE MONDE
27.11.08.
*Les puces ne garantissent pas la sécurité des échanges en ligne*
**La confiance qu'ont les utilisateurs d'Internet dans la capacité du système à sécuriser les données a toujours été relative. Elle pourrait bien s'effondrer si l'industrie des microprocesseurs et les fournisseurs de logiciels de cryptage se révélaient incapables de répondre à un nouveau type d'attaque, redoutablement efficace, découvert par une équipe conduite par le cryptologue allemand Jean-Pierre Seifert (universités d'Haïfa et d'Innsbruck). Le commerce en ligne serait alors menacé, mais aussi, plus largement, tout ce qui permet la dématérialisation des échanges, fondée sur des applications faisant appel aux codes secrets dits asymétriques, qu'il s'agisse de crypter, de signer ou de garantir l'intégrité de données numériques.
Dans un article encore confidentiel, le chercheur et ses collègues décrivent la façon dont ils ont pu, en une seule tentative – soit quelques millisecondes –, récupérer la quasi-intégralité d'une clé de cryptage de 512 bits (suite d'autant de 0 ou de 1). A titre de comparaison, la plus grande clé publique cassée à ce jour faisait 640 bits, et sa décomposition, annoncée en novembre 2005, avait mobilisé, pendant trois mois, 80 microprocesseurs cadencés à 2,2 GHz.
Depuis l'annonce, cet été, sur le serveur de l'Association internationale de recherche cryptologique (IACR), de la faisabilité théorique d'une telle attaque, les producteurs de microprocesseurs sont sur les dents : les puces de la quasi-totalité du parc informatique sont en effet vulnérables. Au point que le chef de la sécurité d'Intel, numéro un mondial des microprocesseurs, sollicité sur la question, fait répondre qu'il sera "indisponible pendant plusieurs semaines". C'est que la parade face aux attaques classiques des systèmes à clé publique – à savoir allonger la taille des clés - est dans ce cas inopérante.
Jean-Pierre Seifert a en effet pris ces systèmes à rebours. Alors que leur robustesse s'appuie sur la grande difficulté à déduire mathématiquement la clé privée, secrète, à partir de son complément public, il s'est intéressé à la façon dont le microprocesseur lisait en interne ces données confidentielles.
Or il se trouve que le mode de fonctionnement même de la puce, optimisé pour accélérer les calculs, la rend vulnérable. "La sécurité a été sacrifiée au bénéfice de la performance", estime le chercheur.
On peut résumer ainsi le principe de l'attaque : pour aller toujours plus vite, le processeur fonctionne en parallèle et dispose d'un système de prédiction du résultat de l'opération en cours. Si la prédiction est bonne, le processus est sensiblement accéléré. Si elle est erronée, il faut revenir en arrière et recommencer l'opération élémentaire. Il "suffit" de mesurer le temps de calcul lorsque le processeur égrène la chaîne de 0 et de 1 qui constitue la clé de cryptage pour en déduire celle-ci.
Cette menace, qui porte le nom d'"analyse de prédiction de branche" (BPA), était déjà connue, mais elle nécessitait de très nombreux essais pour déduire de façon statistique la clé de cryptage. Ce qui la rendait impraticable. La percée de Jean-Pierre Seifert tient à ce qu'une seule écoute est désormais nécessaire. Et sa force réside dans le fait que le processus de prédiction, fondamental pour accélérer les performances du processeur, n'est pas protégé.
Un petit logiciel "taupe" pourrait donc écouter la puce en toute discrétion, et renvoyer la clé à des hackers, à des services de renseignement ou à des espions à la solde de concurrents.
"UNE QUESTION DE SEMAINES"
On n'en est pas tout à fait là. "Nous n'avons pas développé d'application clé en main, qui serait disponible en ligne", se défend Jean-Pierre Seifert. Mais il estime qu'une fois sa méthode dévoilée, début 2007, lors de la prochaine conférence RSA – du nom du système de cryptage le plus populaire –, la réalisation de tels logiciels d'attaque ne sera qu'"une question de semaines".
Les spécialistes de cryptographie confirment le sérieux de la menace. Sous couvert d'anonymat, l'un des meilleurs connaisseurs mondiaux des systèmes à clé publique résume sans fard la situation : "La solution réelle est de revoir la conception même de nos microprocesseurs – un processus très long et difficile. Une solution de court terme serait de ne pas permettre que des applications sensibles tournent en parallèle avec des opérations standards sur un même ordinateur, ce qui est plus facile à dire qu'à faire dans un environnement de travail classique. Il reste des remèdes partiels, mais ils impliquent de ralentir considérablement le PC."
Jean-Jacques Quisquater (Université catholique de Louvain, Belgique) rappelle que les normes militaires américaines mettent en garde depuis longtemps contre les attaques fondées sur l'analyse des temps de calcul. Pour lui, l'avenir est aux processeurs spécialisés dans les fonctions de sécurité. "Mais on n'y viendra pas avant plusieurs années", remarque-t-il.
"INTEL DOIT ÊTRE DÉSESPÉRÉ"
"On sait bien que ne sont 'très sûres'' que les opérations cryptologiques conduites dans une enceinte protégée, côté serveur, avec un module spécifique", confirme Jacques Stern, directeur du laboratoire d'informatique de l'Ecole normale supérieure, à Paris. Une prophylaxie radicale, impraticable pour l'internaute lambda.
David Naccache (université Paris-II) reconnaît qu'"il n'y a pas d'opération à cœur ouvert possible" : toucher au système de module de prédiction pourrait affecter des fonctions essentielles.
En première ligne, Intel se borne à préciser de façon laconique que la prochaine version d'OpenSSL, un logiciel libre de sécurisation de données, répondra à la menace, au besoin en désactivant le module de prédiction. "Une telle mesure ralentirait par quatre le microprocesseur, assure Jean-Pierre Seifert, ce qui prouve à quel point Intel doit être désespéré." Lui-même ancien collaborateur d'Intel et de son concurrent Infineon, revenu ensuite à l'université, il cherche désormais des parades à la faille qu'il a découverte. Mais dans la mesure où les recherches dans ce domaine sont récentes, prévient-il, "cela prendra un certain temps avant d'y voir clair".
Certes l'assaut qu'il a conçu est plus difficile à mettre en oeuvre que les innombrables stratagèmes imaginés par les hackers, qui contraignent l'industrie à produire des "patchs" en permanence. Dans son cas, une simple rustine ne saurait suffire.
LE MONDE
18.11.06
Dans un article encore confidentiel, le chercheur et ses collègues décrivent la façon dont ils ont pu, en une seule tentative – soit quelques millisecondes –, récupérer la quasi-intégralité d'une clé de cryptage de 512 bits (suite d'autant de 0 ou de 1). A titre de comparaison, la plus grande clé publique cassée à ce jour faisait 640 bits, et sa décomposition, annoncée en novembre 2005, avait mobilisé, pendant trois mois, 80 microprocesseurs cadencés à 2,2 GHz.
Depuis l'annonce, cet été, sur le serveur de l'Association internationale de recherche cryptologique (IACR), de la faisabilité théorique d'une telle attaque, les producteurs de microprocesseurs sont sur les dents : les puces de la quasi-totalité du parc informatique sont en effet vulnérables. Au point que le chef de la sécurité d'Intel, numéro un mondial des microprocesseurs, sollicité sur la question, fait répondre qu'il sera "indisponible pendant plusieurs semaines". C'est que la parade face aux attaques classiques des systèmes à clé publique – à savoir allonger la taille des clés - est dans ce cas inopérante.
Jean-Pierre Seifert a en effet pris ces systèmes à rebours. Alors que leur robustesse s'appuie sur la grande difficulté à déduire mathématiquement la clé privée, secrète, à partir de son complément public, il s'est intéressé à la façon dont le microprocesseur lisait en interne ces données confidentielles.
Or il se trouve que le mode de fonctionnement même de la puce, optimisé pour accélérer les calculs, la rend vulnérable. "La sécurité a été sacrifiée au bénéfice de la performance", estime le chercheur.
On peut résumer ainsi le principe de l'attaque : pour aller toujours plus vite, le processeur fonctionne en parallèle et dispose d'un système de prédiction du résultat de l'opération en cours. Si la prédiction est bonne, le processus est sensiblement accéléré. Si elle est erronée, il faut revenir en arrière et recommencer l'opération élémentaire. Il "suffit" de mesurer le temps de calcul lorsque le processeur égrène la chaîne de 0 et de 1 qui constitue la clé de cryptage pour en déduire celle-ci.
Cette menace, qui porte le nom d'"analyse de prédiction de branche" (BPA), était déjà connue, mais elle nécessitait de très nombreux essais pour déduire de façon statistique la clé de cryptage. Ce qui la rendait impraticable. La percée de Jean-Pierre Seifert tient à ce qu'une seule écoute est désormais nécessaire. Et sa force réside dans le fait que le processus de prédiction, fondamental pour accélérer les performances du processeur, n'est pas protégé.
Un petit logiciel "taupe" pourrait donc écouter la puce en toute discrétion, et renvoyer la clé à des hackers, à des services de renseignement ou à des espions à la solde de concurrents.
"UNE QUESTION DE SEMAINES"
On n'en est pas tout à fait là. "Nous n'avons pas développé d'application clé en main, qui serait disponible en ligne", se défend Jean-Pierre Seifert. Mais il estime qu'une fois sa méthode dévoilée, début 2007, lors de la prochaine conférence RSA – du nom du système de cryptage le plus populaire –, la réalisation de tels logiciels d'attaque ne sera qu'"une question de semaines".
Les spécialistes de cryptographie confirment le sérieux de la menace. Sous couvert d'anonymat, l'un des meilleurs connaisseurs mondiaux des systèmes à clé publique résume sans fard la situation : "La solution réelle est de revoir la conception même de nos microprocesseurs – un processus très long et difficile. Une solution de court terme serait de ne pas permettre que des applications sensibles tournent en parallèle avec des opérations standards sur un même ordinateur, ce qui est plus facile à dire qu'à faire dans un environnement de travail classique. Il reste des remèdes partiels, mais ils impliquent de ralentir considérablement le PC."
Jean-Jacques Quisquater (Université catholique de Louvain, Belgique) rappelle que les normes militaires américaines mettent en garde depuis longtemps contre les attaques fondées sur l'analyse des temps de calcul. Pour lui, l'avenir est aux processeurs spécialisés dans les fonctions de sécurité. "Mais on n'y viendra pas avant plusieurs années", remarque-t-il.
"INTEL DOIT ÊTRE DÉSESPÉRÉ"
"On sait bien que ne sont 'très sûres'' que les opérations cryptologiques conduites dans une enceinte protégée, côté serveur, avec un module spécifique", confirme Jacques Stern, directeur du laboratoire d'informatique de l'Ecole normale supérieure, à Paris. Une prophylaxie radicale, impraticable pour l'internaute lambda.
David Naccache (université Paris-II) reconnaît qu'"il n'y a pas d'opération à cœur ouvert possible" : toucher au système de module de prédiction pourrait affecter des fonctions essentielles.
En première ligne, Intel se borne à préciser de façon laconique que la prochaine version d'OpenSSL, un logiciel libre de sécurisation de données, répondra à la menace, au besoin en désactivant le module de prédiction. "Une telle mesure ralentirait par quatre le microprocesseur, assure Jean-Pierre Seifert, ce qui prouve à quel point Intel doit être désespéré." Lui-même ancien collaborateur d'Intel et de son concurrent Infineon, revenu ensuite à l'université, il cherche désormais des parades à la faille qu'il a découverte. Mais dans la mesure où les recherches dans ce domaine sont récentes, prévient-il, "cela prendra un certain temps avant d'y voir clair".
Certes l'assaut qu'il a conçu est plus difficile à mettre en oeuvre que les innombrables stratagèmes imaginés par les hackers, qui contraignent l'industrie à produire des "patchs" en permanence. Dans son cas, une simple rustine ne saurait suffire.
LE MONDE
18.11.06
***BREF APERCU : 91e Congrès des Maires de France***
***Lors de leur congrès annuel, les maires de France débattront notamment des enjeux et des opportunités de la construction européenne pour la gestion locale.
Les élus communaux doivent de plus en plus intégrer dans leur gestion et leurs interventions les évolutions résultant de l'appartenance à L'Union européenne. La législation européenne, notamment en matière de services, a un impact direct sur les décisions locales, à un moment où les collectivités mettent en place des systèmes de plus en plus innovants pour répondre au mieux aux besoins de citoyens. Par ailleurs, les financements européens offrent de multiples opportunités pour les communes désireuses de monter un projet local et les possibilités de coopération avec d'autres villes européennes sont nombreuses. C'est pourquoi l'Association des maires de France a décidé de consacrer une séquence de son 91e congrès annuel au thème : "Comment tirer le meilleur parti de l'Europe ?".
Nicolas Sarkozy prononcera un discours jeudi 27 novembre au Paris Expo de la Porte de Versailles. François Fillon, ainsi que plusieurs représentants de la Commission européenne et du Parlement européen, prendront part aux discussions. La table-ronde sera conclue par Jean-Pierre Jouyet, secrétaire d'État chargé des affaires européennes.
En marge du Congrès se tiendra le salon des maires et collectivités locales. Des membres du bureau d'information du Parlement européen présenteront au public et aux élus le rôle de l'Union dans le développement des territoires et les enjeux des prochaines élections européennes de juin 2009. Dans cette perspective, des actions spécifiques seront réalisées pour inciter les citoyens à s'inscrire sur les listes électorales.
SECHE ENVIRONNEMENT
Distribution des Cannes
Honoré COLOMAS
Président de l'Association des Maires des Alpes-Maritime
Conseiller général
Vice-Président de la Communauté d'Agglomération Nice Côte d'Azur
Maire de Saint-André-de-la-Roche
Anne-Marie NEDELEC
MAIRE DE NOGENT
VEHICULE ELECTRIQUE
VEHICULE ELECTRIQUE
Alain RAGUENEAU
***EGALEMENT (entre autres) :
SALON DES MAIRES ET DES COLLECTIVITES LOCALES
27 NOVEMBRE 2008, de 10h00 à 12h00
10h00 - 10h45 - Faut-il investir dans les réseaux de chaleur ?
Avec
• Jean-Louis BAL, directeur des Energies renouvelables, des marchés et des réseaux énergétiques de l’ADEME
• Thierry FRANCK DE PREAUMONT, président de CPCU
• Franck LACROIX, directeur de DALKIA FRANCE
• Nicolas GARNIER, délégué Général d’AMORCE
10h45 - 11h45 - Les énergies renouvelables sont-elles au rendez-vous ?
Avec
• Jean-Louis BAL, directeur des Energies renouvelables, des marchés et des réseaux énergétiques de l’ADEME
• Pascal CHOFFEZ, responsable Prescription, TENESOL
• Jacky BENTZ, responsable développement de l’habitat - PRIMAGAZ
• Hervé GARCIA, directeur Conseil Développement Durable – LOGICA
• Bernard LAURENT, directeur général - ERELIA GROUPE
• Marc FRAGER, directeur Développement France, EDF EN
Chaque table ronde suivie d’un débat avec la salle.
Animation : Elisabeth Salles et Joël Spaes, rédacteurs en chef du BIP et d’Enerpresse
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Photo François FILLON: Matignon.
*Photos : Morgane BRAVO
jeudi 20 novembre 2008
***SIREME & ENERGIES RENOUVELABLES DU BATIMENT ET DE LA MAITRISE DE L'ENERGIE***
Denis BAUPIN, Maire adjoint de Paris chargé du Développement Durable, de l’Environnement et du Plan-climat.
"La "Remise des Prix" de la 11e session du concours « Habitat Solaire, Habitat d’Aujourd’hui » a eu lieu le 19 novembre 2008.
***FELICITATIONS POUR L'ORGANISATION! UN GRAND SUCCES! & UN GRAND PAS POUR LA PLANETE...A SUIVRE....***
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Photos : Morgane BRAVO
mardi 18 novembre 2008
***Grand Prix de l'Environnement 2008 : SIREME***
***12e Grand Prix de l’Environnement des villes d’Ile-de-France
*"Remise des Prix"
Le "Grand Prix de l'Environnement des villes de l'Ile de France" a eu lieu mardi 18 novembre 2008 au CNIT - Paris-La Défense
Espace Darwin dans le cadre du SIREME
En présence de :
Ministre André SANTINI, Secrétaire d'Etat à la Fonction publique, Président d'Arc de Seine, Maire d'Issy-les-Moulineaux, Président de SEDIF,
Maurice OUZOULIAS, Président du SIAAP,
Jérôme Bédier, Président de la Fédération des Entreprises du Commerce et de la Distribution, et Président de la commission Europe du MEDEF,
Corinne LEPAGE, Ancien Ministre de l'environnement, Avocate.
42 candidats avec 109 initiatives, en compétition.
Constructions basses consommations, éco-quartiers, transport intermodal du fret, fleuve, rail, route, circulations douces, urbanisme protecteur d’une agriculture péri-urbaine, et d’une logistique urbaine.
*GAGNANTS*
XIIe GRAND PRIX DE L'ENVIRONNEMENT DES VILLES D'ILE DE FRANCE : Paris et Triangle vert.
PRIX SPECIAL DU JURY : Syndicat des Eaux d'Ile- de- france (SEDIF)
COUP DE COEUR DU JURY : COLOMBES
URBANISME, PATRIMOINE ET DEVELOPPEMENT DURABLE :
1er Prix ex-aequo : Paris Tolbiac/Monoprix et Triangle vert,
3e Prix : Moussy-le-Neuf
3 Mentions : Saint-Denis, Saulx les Chartreux, Bessancourt
GESTION ENVIRONNEMENTALE DE L'ESPACE URBAIN :
I) Préservation et mise en valeur des espaces verts et des paysages :
1er Prix : Triangle vert, 2e Prix Colombes, 3e Prix : Nanterre
2) Gestion de l'eau et assainissement :
1er Prix : Versailles, 3 Mentions : Epiais-Rhus, Sedif, Rungis
DEPLACEMENTS ET TRANSPORTS :
I) Fret : 1er Prix ex aequo : Paris Monoprix et Paris JC Decaux/Port Autonome
2) Personnes : Prix ex aequo : Paris Canaux Rengis
ECONOMIE DES RESSOURCES :
I) Gestion et traitement des déchets, valorisation et prévention :
1er Prix : Plaisir, 3 Mentions : Châtillon, Sud de Seine, Seylon
2) Energie, qualité environnementale des constructions :
1er Prix ex-aequo : Nanterre et Arcueil, Mention Spéciale : Mesnil-le-Roi, 2e Prix : Pantin
GESTION DE L'AMBIANCE, PREVENTION ET REDUCTION DES NUISSANCES
1er Prix : Paris Tolbiac, 2e Prix : Boulogne-Billancourt
DEMOCRATIE LOCALE PARTICIPATIVE
1er Prix : Sainte Geneviève des Bois, 2e Prix : Evry, Mention : Triangle vert
EDUCATION A L'ENVIRONNEMENT
1er Prix : Colombes, 2e Prix : Plaisir, 3e Prix : Nogent sur Marne,
Mention : Plaine Commune
*Les candidats, les lauréats et les partenaires exposent leurs initiatives dans le cadre du Salon SIREME* :
Exposition des Candidats et des partenaires
Les 17, 18, 19 novembre 2008 de 9h à 19h au CNIT - Paris-La-Défense
Espace Darwin dans le cadre du SIREME
Ministre André SANTINI, Secrétaire d'Etat à la Fonction publique, Président d'Arc de Seine, Maire d'Issy-les-Moulineaux, Président de SEDIF
Jérôme Bédier, Président de la Fédération des Entreprises du Commerce et de la Distribution, et Président de la commission Europe du MEDEF
Henri-Pierre LERSTEAU, Adjoint au Maire délégué à l’Urbanisme et à l’Environnement. VILLE DE PLAISIR
***FELICITATIONS AUX VILLES & AUX HEUREUX GAGNANTS! Il faut remarquer la présence du MEDEF!... : UN SUCCES!***
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Photos : Morgane BRAVO
*"Remise des Prix"
Le "Grand Prix de l'Environnement des villes de l'Ile de France" a eu lieu mardi 18 novembre 2008 au CNIT - Paris-La Défense
Espace Darwin dans le cadre du SIREME
En présence de :
Ministre André SANTINI, Secrétaire d'Etat à la Fonction publique, Président d'Arc de Seine, Maire d'Issy-les-Moulineaux, Président de SEDIF,
Maurice OUZOULIAS, Président du SIAAP,
Jérôme Bédier, Président de la Fédération des Entreprises du Commerce et de la Distribution, et Président de la commission Europe du MEDEF,
Corinne LEPAGE, Ancien Ministre de l'environnement, Avocate.
42 candidats avec 109 initiatives, en compétition.
Constructions basses consommations, éco-quartiers, transport intermodal du fret, fleuve, rail, route, circulations douces, urbanisme protecteur d’une agriculture péri-urbaine, et d’une logistique urbaine.
*GAGNANTS*
XIIe GRAND PRIX DE L'ENVIRONNEMENT DES VILLES D'ILE DE FRANCE : Paris et Triangle vert.
PRIX SPECIAL DU JURY : Syndicat des Eaux d'Ile- de- france (SEDIF)
COUP DE COEUR DU JURY : COLOMBES
URBANISME, PATRIMOINE ET DEVELOPPEMENT DURABLE :
1er Prix ex-aequo : Paris Tolbiac/Monoprix et Triangle vert,
3e Prix : Moussy-le-Neuf
3 Mentions : Saint-Denis, Saulx les Chartreux, Bessancourt
GESTION ENVIRONNEMENTALE DE L'ESPACE URBAIN :
I) Préservation et mise en valeur des espaces verts et des paysages :
1er Prix : Triangle vert, 2e Prix Colombes, 3e Prix : Nanterre
2) Gestion de l'eau et assainissement :
1er Prix : Versailles, 3 Mentions : Epiais-Rhus, Sedif, Rungis
DEPLACEMENTS ET TRANSPORTS :
I) Fret : 1er Prix ex aequo : Paris Monoprix et Paris JC Decaux/Port Autonome
2) Personnes : Prix ex aequo : Paris Canaux Rengis
ECONOMIE DES RESSOURCES :
I) Gestion et traitement des déchets, valorisation et prévention :
1er Prix : Plaisir, 3 Mentions : Châtillon, Sud de Seine, Seylon
2) Energie, qualité environnementale des constructions :
1er Prix ex-aequo : Nanterre et Arcueil, Mention Spéciale : Mesnil-le-Roi, 2e Prix : Pantin
GESTION DE L'AMBIANCE, PREVENTION ET REDUCTION DES NUISSANCES
1er Prix : Paris Tolbiac, 2e Prix : Boulogne-Billancourt
DEMOCRATIE LOCALE PARTICIPATIVE
1er Prix : Sainte Geneviève des Bois, 2e Prix : Evry, Mention : Triangle vert
EDUCATION A L'ENVIRONNEMENT
1er Prix : Colombes, 2e Prix : Plaisir, 3e Prix : Nogent sur Marne,
Mention : Plaine Commune
*Les candidats, les lauréats et les partenaires exposent leurs initiatives dans le cadre du Salon SIREME* :
Exposition des Candidats et des partenaires
Les 17, 18, 19 novembre 2008 de 9h à 19h au CNIT - Paris-La-Défense
Espace Darwin dans le cadre du SIREME
Ministre André SANTINI, Secrétaire d'Etat à la Fonction publique, Président d'Arc de Seine, Maire d'Issy-les-Moulineaux, Président de SEDIF
Jérôme Bédier, Président de la Fédération des Entreprises du Commerce et de la Distribution, et Président de la commission Europe du MEDEF
Henri-Pierre LERSTEAU, Adjoint au Maire délégué à l’Urbanisme et à l’Environnement. VILLE DE PLAISIR
***FELICITATIONS AUX VILLES & AUX HEUREUX GAGNANTS! Il faut remarquer la présence du MEDEF!... : UN SUCCES!***
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Photos : Morgane BRAVO
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