Chefs d’entreprises et salariés franciliens adhèrent largement à l’idée d’une conversion écologique et sociale. C’est l’une des conclusions majeures d’une enquête, réalisée par l’institut de sondage Viavoice, présentées le 21 novembre lors de la 1e séance plénière des États généraux.
C’est une enquête riche d’enseignements pour la réussite de la conversion écologique et sociale en Île-de-France. Réalisée auprès de chefs d’entreprise, de salariés et de représentants du personnel franciliens*, elle met en valeur à la fois la compréhension qu’ont ces acteurs économiques essentiels de la notion de « conversion écologique et sociale », mais aussi leur lucidité sur les enjeux de sa mise en œuvre et sur la définition des priorités.
Première conclusion essentielle : l’idée de la conversion écologique et sociale remporte une large adhésion dans le monde de l’entreprise. Dirigeants (73 %) et salariés (74 %) se rejoignent sur le fait qu’elle est aujourd’hui un passage obligé pour leur entreprise, considérant qu’elle peut aussi en améliorer la performance économique.
Mais ils sont également lucides sur sa mise en œuvre : chefs d’entreprise (70 %) et salariés (50%) estiment qu’elle peut être une contrainte supplémentaire pour leur activité et, dans une moindre mesure, qu’elle n’est pas la priorité en temps de crise économique…
Première conclusion essentielle : l’idée de la conversion écologique et sociale remporte une large adhésion dans le monde de l’entreprise. Dirigeants (73 %) et salariés (74 %) se rejoignent sur le fait qu’elle est aujourd’hui un passage obligé pour leur entreprise, considérant qu’elle peut aussi en améliorer la performance économique.
Mais ils sont également lucides sur sa mise en œuvre : chefs d’entreprise (70 %) et salariés (50%) estiment qu’elle peut être une contrainte supplémentaire pour leur activité et, dans une moindre mesure, qu’elle n’est pas la priorité en temps de crise économique…
Des pratiques très concrètes, mais encore timides…
Derrière ces résultats contrastés se cache toutefois une réelle prise de conscience de la responsabilité environnementale des entreprises : près d’un salarié sur trois pratique « avec succès » des démarches telles que l’économie de papier, un salarié sur quatre (23 %) déclare également que son entreprise développe « avec succès » des produits ou services plus respectueux de l’environnement…
Pour l’avenir, chefs d’entreprises et salariés ont les mêmes priorités
Economies d’énergie, de papier, de matériel, ou encore tri des déchets… Chefs d’entreprise et salariés se rejoignent sur les priorités écologiques d’avenir pour leur entreprise. Les attentes en matière sociale, naturellement plus fortes chez les salariés, sont pour autant les mêmes que celles des chefs d’entreprises : améliorer les conditions de travail, favoriser la conciliation entre vie professionnelle et familiale, renforcer le dialogue social…
Dernier enseignement de cette enquête, un constat partagé par les patrons et les salariés sur l’avenir de leur entreprise : dans 2 ou 3 ans, elle devra évoluer ou faire évoluer sa production afin de prendre davantage en compte les questions environnementales (68 % des chefs d’entreprises et 72 % des salariés), ainsi que les questions sociales (65 % des chefs d’entreprises et 68 % des salariés).
Dernier enseignement de cette enquête, un constat partagé par les patrons et les salariés sur l’avenir de leur entreprise : dans 2 ou 3 ans, elle devra évoluer ou faire évoluer sa production afin de prendre davantage en compte les questions environnementales (68 % des chefs d’entreprises et 72 % des salariés), ainsi que les questions sociales (65 % des chefs d’entreprises et 68 % des salariés).
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